@123pourquoi @popomme
Vos avis et vos expériences sont ce qu'elles sont, et je comprends votre réaction, vos apports.
Mais... je trouve vos messages (le premier popomme, pas le second qui reprend bien ton vécu en le différenciant
) culpabilisants, notamment parce qu'ils sont donnés en après-coup (ce n'est pas la même chose de lui dire "ce que tu as fait va lui faire encore plus mal/ne pas l'aider" après ses actions, que répondre au sujet par "moi je te conseille de faire ça parce que...")
Je ne vois pas trop quels autres choix avait
@Valentina- sachant qu'elle est malgré tout présente, et qu'une de leurs amies communes n'appelle pas d'autres instances, tout en restant présente et douce.
On ne savait pas, si son amie était dans votre cas, ou si justement, ne pas alerter sa famille/les pompiers à une date donnée comme celle de son potentiel suicide aurait pu constituer un problème. Elle a simplement tenté d'aider une amie en situation urgente de mal-être. Pour travailler avec des jeunes suicidaires, ça arrive aussi tous les jours qu'on nous dise "Untel a alerté les pompiers, ça m'a permis d'accéder à des soins" - ou que factuellement, et bien qu'un.e ami.e d'un.e jeune appelle les pompiers lui sauve la vie littéralement (certains sont reconnaissants, d'autres très en colère sur le moment, après, ou pour longtemps).
C'est difficile de savoir dans quel cas de figure est son amie, comment elle aurait pu réagir : donc elle a fait ce choix là, tenter de la protéger d'un potentiel acte auto-agressif.