C'est dommage que l'article ne rappelle pas les prises de position de Frédéric Bonnaud, le directeur de la cinémathèque depuis 2016. C'est lui qui avait qualifié les féministes de "demi-folles" et qui défend Polanski depuis des années en allant bien au-delà des arguments sur la séparation de l'homme et de l'artiste.
Par exemple, en 2009 (ou 2008 ?), dans l'émission "L'objet du scandale", il n'hésitait pas à accabler la victime, laisser entendre qu'elle était consentante (voire provocante) et surtout citer à tout va l'autobiographie de Polanski comme un récit "objectif" de ce qui c'était passé...
Sa
bio sur Wikipedia donne un aperçu de qui est ce type...
Alors bon, du coup il ne faut pas s'étonner de l'absence de réactivité de la cinémathèque...