Autant, je comprends cette décision mais si cette décision est prise pour un agresseur sexuel, elle doit être la même pour tous les autres agresseurs.
Et il y en a énormément dans le cinéma.
A la limite, mettre le film dans le domaine public serait peut-être une bonne décision vu que les studios et les producteurs sont complices ou eux-mêmes agresseur.
C'est plus simple dans les livres de boycotter un écrivain car il y a panel d'offre que le cinéma n'a pas.
La seule solution est de faire en sorte que le cinéma soit plus diversifié et plus ouvert. C'est toujours les mêmes qui ont le monopole et impose leur vision, limite propagandiste parfois (surtout quand il s'agit du corps des femmes)