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Help ! Suis-je une « go muscu » qui s’ignore ?
Help ! Suis-je une « go muscu » qui s’ignore ?
Tellement.Sentir mon corps gagner en force, ça me plait
« Whaaaat ! Mais JPP, t’es une ‘go muscu’ ?! »
Vous voyez ce mec baraqué qui exhibe ses bras sculptés, boit des shakers protéinés et renseigne quotidiennement les poids qu’il soulève sur les réseaux sociaux ? Le « go muscu », c’est lui, représentation caricaturale d’un homme pour qui sculpter son corps est un mode de vie.
Et du coup, pour la suite de mon message ?@Rose_Eth Non, le Anthony ne parle pas vraiment comme ça, c'est juste Clémence* qui l'a caricaturé pour des enjeux de dramatisation du témoignage, afin de le rendre un peu plus divertissant.
Mais merci pour le diagnostic de "léger retard mental" validiste au possible, en plus d'être complètement déplacé. Et oui, je m'y connais plutôt bien en trouble d'insatisfaction corporelle, dysmorphophobie, TCA dont l'orthorexie et la bigorexie.
C'est avec ce genre de commentaires qu'on enfonce les gens plus qu'on ne les aide.
Bonjour @Rose_Eth,Et du coup, pour la suite de mon message ?
Ça serait bien un petit encadré pour prévenir sur les risques sur la santé / santé mentale que peut engendrer le fait d'être un(e) "Go Muscu".
Derrière les arguments de "bien être", "meilleure version de soi-même", etc. il y a aussi de vrais enjeux sociétaux, une pression. Et je suis persuadée que le mag' est particulièrement vigilant à l'idée de les dénoncer.
https://www.telerama.fr/enfants/inf...influence-dangereuse-sur-les-ados-7015067.php
Oui, c'est exactement cela que je pointe du doigtBonjour @Rose_Eth,
Je rebondis à votre message puisque c'est moi qui ai édité le témoignage de Clémence*.
Un tel encadré aurait en effet eu toute sa place si le rapport de Clémence au sport, et en particulier à la musculation, était problématique. Je mets d'ailleurs toujours un point d'honneur à apporter des éléments ressources sur les témoignages en lien avec la santé, voire quand cela est nécessaire en complétant avec l'interview d'un.e spécialiste.
Or, ici, malgré l'interrogation présente dans le titre du témoignage, Clémence ne se considère pas comme une "go muscu" et n'a pas de rapport addictif au sport. Je la cite :
« Je vais à la salle de sport tous les dimanches matins, et je commence généralement par m’échauffer 30 minutes sur le vélo elliptique avant de passer aux exercices de musculation qui s’accordent avec mon humeur du jour, pendant une petite heure. Loin de la championne d’haltérophilie, je n’ai pas d’objectifs autres que la régularité, je ne prends pas de compléments alimentaires, ne gobe pas cinq œufs crus au petit déjeuner et n’enregistre mes exploits sur aucun support. »
Sur ce, bonne journée !