Je trouve sa prise de parole courageuse, mais tant que les victimes ne citeront pas le nom de leur(s) agresseur(s) ça les maintiendra aussi dans l'impunité.
Si Judith Godreche n'avait pas nommé Jacquot et Doillon, sa prise de parole serait restée aussi confidentielle qu'elle l'était juste avant qu'elle ne cite les noms, et la vague qu'elle est entrain de réussir à créer avec les prises d'Anna Mouglalis, Isild le Bescot, mais aussi le #metoogarçons d'Aurélien Wiik (entre autres, sans parler des adresses mails qui ont été crées pour que des anonymes puissent aussi témoigner de leur vécu de VSS et qui reçoivent de multiples témoignages) n'auraient peut être pas eu lieu du tout...