Je suis partagée sur la fin du raisonnement de celle qui témoigne, même si, comme elle l'a bien dit, c'est une situation qui n'est ni noire ni blanche.
Mais je suis un peu étonnée de ses proches qui lui ont dit qu'elle aurait du rester avec lui mais le tromper. Quid du consentement du partenaire ? Elle évoque bien sûr d'autre type de couple, et c'est une piste qui semble plus intéressante car elle laisse le choix à son compagnon d'avoir son mot à dire, plutôt que d'être cocu.
Parce que même s'il n'a pas les mêmes envies niveau sexe, il n'a peut-être quand même pas envie que sa compagne aille voir ailleurs ... Ou peut risquer de "céder" pour la garder, sans en avoir l'envie.
Globalement, j'ai du mal avec la notion "l'homme de ma vie" (ou la femme de ma vie), car ça sous-entend que c'était lui, et personne d'autre.
Il checkait sûrement énormément des critères qui plaisent à la Madz, mais la sexualité n'est pas quelque chose de banal dans une relation, et je comprends que ça ait sonné le glas dans leur couple si leurs besoins étaient à ce point en décalage. C'est la faute à personne en fait.
D'ailleurs dans beaucoup de cas, la fin d'un couple se ressent d'abord dans les relations sexuelles (arrêt, diminution, qualité des rapports etc.), donc c'est bien que pour des couples avec activité sexuelle, le sujet est tout sauf banal.