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« Le viol est une arme de guerre », rencontre avec la militante Justine Masika Bihamba
« Le viol est une arme de guerre », rencontre avec la militante Justine Masika Bihamba
Commentaires sur « Le viol est une arme de guerre », rencontre avec la militante Justine Masika Bihamba
- Initiateur de la discussion Elisa Covo
- Date de début
Merci pour l'article et l'interview très exhaustif sur ce sujet important.
En revanche pourquoi avoir censuré le mot viol ? Ca rend la vidéo complètement inaudible. Il y a des passages entiers que je n'ai pas compris à cause de la censure. C'est vraiment dramatique que l'on arrive à ce genre d'extrémité pour poster des vidéos sur les grosses plateformes. Là, franchement, il vaut mieux aller ailleurs que sur Youtube si c'est pour saboter votre travail à ce point.
Et honnêtement, je me demande, la vidéo aurait quand-même pu être postée sans la censure non ? Si c'est une question de monétisation, ça me dérange beaucoup qu'un média féministe
censure le mot viol pour ne pas risquer de perdre de l'argent. C'est aussi un pan du combat féministe d'utiliser les bons mots et de refuser de se laisser museler par les GAFAM.
En revanche pourquoi avoir censuré le mot viol ? Ca rend la vidéo complètement inaudible. Il y a des passages entiers que je n'ai pas compris à cause de la censure. C'est vraiment dramatique que l'on arrive à ce genre d'extrémité pour poster des vidéos sur les grosses plateformes. Là, franchement, il vaut mieux aller ailleurs que sur Youtube si c'est pour saboter votre travail à ce point.
Et honnêtement, je me demande, la vidéo aurait quand-même pu être postée sans la censure non ? Si c'est une question de monétisation, ça me dérange beaucoup qu'un média féministe
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J’ai lu le livre de Denis Mukwege sur le même sujet, je vais lire celui là aussi!
Je recommande cette lecture d’ailleurs, on comprends vraiment mieux les dynamiques et comment cette situation perdure (Mukwege a reçu des menacés jusqu’au plus haut sommet de l’Etat), et il aborde aussi les viols comme crimes de guerre dans d’autres pays à travers ses rencontres avec des militantes (ukrainiennes, syriennes, etc).
La place est beaucoup laissée aussi aux témoignages des femmes et à toutes les actions mises en place au fur et à mesure autre que juste « réparer les femmes » sur un plan chirurgical (parce que ce sont souvent des viols avec acte de barbarie qui créent des séquelles invalidantes définitives), mesures psychologiques et de réinsertion, d’éducation, etc.
Le livre de Justine Masika Bihamba me semble un bon complément !
Et c’est important de dire qu’à notre échelle on peut agir un tout petit peu en aidant financièrement ces associations.
Je recommande cette lecture d’ailleurs, on comprends vraiment mieux les dynamiques et comment cette situation perdure (Mukwege a reçu des menacés jusqu’au plus haut sommet de l’Etat), et il aborde aussi les viols comme crimes de guerre dans d’autres pays à travers ses rencontres avec des militantes (ukrainiennes, syriennes, etc).
La place est beaucoup laissée aussi aux témoignages des femmes et à toutes les actions mises en place au fur et à mesure autre que juste « réparer les femmes » sur un plan chirurgical (parce que ce sont souvent des viols avec acte de barbarie qui créent des séquelles invalidantes définitives), mesures psychologiques et de réinsertion, d’éducation, etc.
Le livre de Justine Masika Bihamba me semble un bon complément !
Et c’est important de dire qu’à notre échelle on peut agir un tout petit peu en aidant financièrement ces associations.
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