Comment est-ce possible de donner toute cette admiration ("donne une leçon d'histoire iconique", "[s'est fendu] d'un magistral"...) envers un ministre de l'Education Nationale qui, non content d'appliquer comme tous ses collègues le "faites c'que j'dis, pas c'que j'fais" (ses propres enfants dans une école privée élitiste, bien épargnée du massacre opéré par lui et ses prédécesseurs envers l'école publique), est le digne successeur de Jean-Michel Blanquer en terme d'incompétence et de malhonnêteté ? J'entends dire partout qu'on (les enseignant-e-s) a été augmenté. Bah on attend toujours. Ah, si, oui, quelques primes pour les "débuts de carrière", en contrepartie de travail supplémentaire et qui, en tant que primes, ne compteront pas pour les futures retraites (si tant est qu'on en ait une un jour).
Et Dieu sait que je déteste, Pécresse, les Républicains, et compagnie. Et cette polémique qui n'avait pas lieu d'être.
Par ailleurs, totalement d'accord avec le poste du dessus concernant le rôle de chacun-e des protagonistes.