Je trouve les résultats de cette étude alarmiste : ils sont moins bons que dans les éditions récentes précédentes. C'est inquiétant.
Je rejoins
@Fille du Feu : s'ils se sentent menacés c'est que le boulot est bien fait. Malheureusement, je crains que ce ne soit qu'illusoire : ils se sentent menacés sans que la menace soit tangible. Les femmes, elles, sont toujours victimes et ne se sentent guère davantage en sécurité. Je trouve donc que le rapport est en fait très inquiétant et que le sentiment de menace est un peu un écran de fumée.
Et toujours dans le sillon de ma VDD : je suis d'accord qu'il y a une échelle de valeur dans le partage vie pro/vie perso qui est très capitaliste/travailliste. A mon sens, une société qui va vers le mieux n'est pas une société dans laquelle les femmes se sentent moins découragées par la poursuite d'une carrière professionnelle alors qu'elles ont des enfants. C'est une première étape indispensable mais ne devrions-nous pas aspirer justement à privilégier tous le lien social, le lien amical, familial etc. et tout le temps nécessaire à y consacrer ? Je trouve que promouvoir l'épanouissement professionnel des femmes comme un étendard de la réussite des luttes en faveur de l'égalité homme-femme est un point de vue -nécessaire encore une fois- parcellaire, court-termiste.