Tératogène
Je suis faillible, mais je suis capable.
JMVDPC (mais pas tellement, en fait) mais ce déconfinement ne me réjouit pas. Beaucoup de mes ami.e.s ont l’air ravi.e.s et partout je vois des messages d’espoir comme quoi c’est le début de la fin de cette période étrange et anxiogène.
Sauf que non... On n’est pas prêt.e.s. Le gouvernement a fait n’importe quoi et continue de le faire, avec notre santé. On n’a pas (encore) beaucoup avancé sur un traitement ou un vaccin, le virus est toujours là. La prévention est faite mais trop de personnes ne respectent pas les gestes et ne savent pas utiliser leurs masques - et encore pire, leurs gants. Demain, il y aura de nouveau du monde dehors, les transports vont se remplir même si j’imagine qu’ils ne seront pas pleins comme d’habitude. Dans ce contexte, j’ai peur, et je vois arriver une nouvelle vague.
On joue avec la capacité de l’hôpital public et la santé de la population, et ça me fait chier pour parler clairement. Renvoyer des gens dehors, qui se croient invincibles avec un masque mal porté et des distances non respectées, c’est surexposer davantage au virus dans leurs trajets maison-travail le personnel soignant et toutes les personnes qui travaillaient toujours pendant le confinement. Comme s’ils ne risquaient pas déjà leur santé pendant le confinement - et n’allez pas me parler d’héroïsme ou de choix.
Sauf que non... On n’est pas prêt.e.s. Le gouvernement a fait n’importe quoi et continue de le faire, avec notre santé. On n’a pas (encore) beaucoup avancé sur un traitement ou un vaccin, le virus est toujours là. La prévention est faite mais trop de personnes ne respectent pas les gestes et ne savent pas utiliser leurs masques - et encore pire, leurs gants. Demain, il y aura de nouveau du monde dehors, les transports vont se remplir même si j’imagine qu’ils ne seront pas pleins comme d’habitude. Dans ce contexte, j’ai peur, et je vois arriver une nouvelle vague.
On joue avec la capacité de l’hôpital public et la santé de la population, et ça me fait chier pour parler clairement. Renvoyer des gens dehors, qui se croient invincibles avec un masque mal porté et des distances non respectées, c’est surexposer davantage au virus dans leurs trajets maison-travail le personnel soignant et toutes les personnes qui travaillaient toujours pendant le confinement. Comme s’ils ne risquaient pas déjà leur santé pendant le confinement - et n’allez pas me parler d’héroïsme ou de choix.