Le pouvoir en place a-t-il fait espionner la compagne de François Hollande ?
Selon l'hebdomadaire l'Express, "des sources policières concordantes, à plusieurs niveaux hiérarchiques, affirment qu'au début de 2011, des fonctionnaires triés sur le volet, appartenant à une section de la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris, ont reçu l'ordre d'enquêter sur Valérie Trierweiler, journaliste à Paris Match et compagne du leader socialiste".
"Il s'agissait d'établir une notice biographique fouillée sur Mme Trierweiler, y compris sur son réseau relationnel" assure une source proche du dossier.
Réaction de François Hollande : "Si l'information de L'Express est vraie, s'il y a bien eu une demande d'enquête, hors de tout cadre légal, sur la vie privée de ma compagne, il s'agirait là d'une irrégularité inacceptable et condamnable devant les tribunaux".
"Je demande que toute la transparence soit faite autour de cette affaire. Si cette enquête a bien eu lieu, je veux savoir pourquoi elle a été commandée et par qui ? (...) Si cette affaire est avérée, elle en dirait long sur ceux qui ont commandé l'enquête. Ce serait une dérive de plus sous la présidence de Nicolas Sarkozy".
Réaction de Valérie Trierweiler : "Je suis abasourdie, je réfléchis avec Me Giffard, mon conseil, à la suite à donner". Elle souhaite qu'on la laisse tranquille car "elle a besoin d'encaisser".
Quant au ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, il se contente pour l'instant d'affirmer à l'AFP que "cela n'est pas avéré" et que "si c'était avéré, je serais indigné".
C'est moi ou le fond de l'air sent de plus en plus la vieille charogne ?
Selon l'hebdomadaire l'Express, "des sources policières concordantes, à plusieurs niveaux hiérarchiques, affirment qu'au début de 2011, des fonctionnaires triés sur le volet, appartenant à une section de la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris, ont reçu l'ordre d'enquêter sur Valérie Trierweiler, journaliste à Paris Match et compagne du leader socialiste".
"Il s'agissait d'établir une notice biographique fouillée sur Mme Trierweiler, y compris sur son réseau relationnel" assure une source proche du dossier.
Réaction de François Hollande : "Si l'information de L'Express est vraie, s'il y a bien eu une demande d'enquête, hors de tout cadre légal, sur la vie privée de ma compagne, il s'agirait là d'une irrégularité inacceptable et condamnable devant les tribunaux".
"Je demande que toute la transparence soit faite autour de cette affaire. Si cette enquête a bien eu lieu, je veux savoir pourquoi elle a été commandée et par qui ? (...) Si cette affaire est avérée, elle en dirait long sur ceux qui ont commandé l'enquête. Ce serait une dérive de plus sous la présidence de Nicolas Sarkozy".
Réaction de Valérie Trierweiler : "Je suis abasourdie, je réfléchis avec Me Giffard, mon conseil, à la suite à donner". Elle souhaite qu'on la laisse tranquille car "elle a besoin d'encaisser".
Quant au ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, il se contente pour l'instant d'affirmer à l'AFP que "cela n'est pas avéré" et que "si c'était avéré, je serais indigné".
C'est moi ou le fond de l'air sent de plus en plus la vieille charogne ?