Bonjour cher Mad !
Je me permets d'écrire un post pour vous parler du roman que j'ai écrit et que j'auto-édite pour l'instant.
Il s'agit de l'histoire d'Iphigénie qui a 27 ans, est célibataire et vit avec un chat du nom de Jean-Michel. Si toutes ces conditions ne suffisaient pas à lui rendre la vie impossible, Sébastien son ex-amoureux qui l’avait lâchement quittée revient dans sa vie, avec de grandes déclarations d’amour. C’est alors qu’elle rencontre le fabuleux Philippe, aux yeux bleus envoûtants qui la fascine et l’attire au plus haut point. Entre les regrets d’une histoire non achevée et les débuts d’une relation passionnée que choisira-t-elle ? C’était sans compter sur Benoît son collègue et ami, ainsi que ses quatre meilleures amies, Audrey, Cécile, Anne et Fany sans oublier sa famille parfois un brin envahissante.
Et pour vous faire une meilleure idée je vous propose de lire un extrait du premier chapitre :
Cinq femmes et un mojito
Un bar un mardi soir de fin d’été, une terrasse et cinq filles en train de boire un verre.
Une grande brune aux cheveux courts, les yeux bruns, pulpeuse, portant des escarpins à talons hauts noirs, une robe légère bleue. Cette grande brune qui se plaignait toujours de ses deux ou trois kilos de trop, c’est moi. Et puisque les accessoires font la féminité j’avais complété l’ensemble par un sautoir en perles ainsi qu’un gros bracelet noir. Je m’appelle Iphigénie Lambert, et pour simplifier cette présentation j’ai 27 ans, célibataire et je suis cadre commerciale dans une grande banque.
A ma droite, Audrey, grande brune sexy, toute mince, longs cheveux soyeux, yeux verts rieurs, rouge à lèvre rose fuchsia mat mettant en avant un sourire franc au moment de prononcer une blague grivoise. Elle portait une blouse en soie blanche très décolletée sur un pantalon en coton enduit brun près du corps, la silhouette était complétée par un immense sac en toile gris et des sandales compensées roses. Elle allait avoir 35 ans, mais on ne lui en donnait pas plus de 30. Elle était mariée depuis 7 ans à François, chirurgien esthétique. Ils ont trois enfants : Thomas, Marie et Corentin. Nous travaillons ensemble depuis 3 ans.
A côté d’elle, Cécile, châtain clair, les cheveux courts et décoiffés, un look de baroudeuse, un jeans sur des bottines en cuir noir et marcel blanc moulant son corps mince presque androgyne. Derrière ses petites lunettes des yeux bleus ciel, un maquillage très léger et des lèvres roses poudrées. Elle était psychologue, célibataire, pas mécontente de l’être et ce même à 32 ans.
En face d’elle, juste à ma gauche, Anne, silhouette généreuse avec des fesses et des seins rebondis, une coupe fun et légère, des lèvres pulpeuses non maquillées, elle était fiancée à Mathieu, informaticien, depuis 1 an environ et ce après 4 années de vie commune. Sa tenue se composait d’une petite robe patineuse noire associée à des petites sandales or. Un solitaire monté sur céramique blanche pare joliment son annulaire gauche. Sa folie ? Un sac BB rouge posé négligemment à côté d’elle. Elle était propriétaire d’un salon de coiffure depuis 3 ans. Elle venait de fêter son trente-et-unième anniversaire.
Et enfin la cinquième, Fany, petit bout de femme, jolie métisse, fluette avec des cheveux mi-longs noirs assortis d’yeux de la même couleur. Toute de blanc vêtu elle sirotait négligemment son mojito à la grenade. Ses deux téléphones posés à côté d’elle, le professionnel pour son emploi d’architecte et le personnel sur le quel on pouvait apercevoir une photo de Nicolas, ingénieur en génie civil, son compagnon. Ils étaient tous les deux âgés de 27 ans et avaient emménagé ensemble depuis quelques semaines seulement.
Comme d’habitude, nous nous retrouvions en centre ville pour boire un verre et parler des aventures, sentimentales, professionnelles ou sexuelles des unes et des autres.
Iphigénie : Tant que j’y pense les filles j’ai rencontré un mec. Mais le genre trop beau pour être vrai…
Audrey : Raconte !
Iphigénie : Alors on va commencer par ma journée de jeudi. Je donnais un cours au lycée, au moment de la pause de 1heure je sors prendre l’air, j’en profite pour discuter avec une collègue prof de français de la classe que nous avons en commun, vous savez celle à qui je donne des cours de…
Cécile : Tu sais que ça on s’en fout, non ?
Vous pouvez le télécharger ici.
J'essaie juste de faire connaître un peu mon roman dans l'attente d'une publication par un éditeur. En vous remerciant de votre intérêt.
Je me permets d'écrire un post pour vous parler du roman que j'ai écrit et que j'auto-édite pour l'instant.
Il s'agit de l'histoire d'Iphigénie qui a 27 ans, est célibataire et vit avec un chat du nom de Jean-Michel. Si toutes ces conditions ne suffisaient pas à lui rendre la vie impossible, Sébastien son ex-amoureux qui l’avait lâchement quittée revient dans sa vie, avec de grandes déclarations d’amour. C’est alors qu’elle rencontre le fabuleux Philippe, aux yeux bleus envoûtants qui la fascine et l’attire au plus haut point. Entre les regrets d’une histoire non achevée et les débuts d’une relation passionnée que choisira-t-elle ? C’était sans compter sur Benoît son collègue et ami, ainsi que ses quatre meilleures amies, Audrey, Cécile, Anne et Fany sans oublier sa famille parfois un brin envahissante.
Et pour vous faire une meilleure idée je vous propose de lire un extrait du premier chapitre :
Cinq femmes et un mojito
Un bar un mardi soir de fin d’été, une terrasse et cinq filles en train de boire un verre.
Une grande brune aux cheveux courts, les yeux bruns, pulpeuse, portant des escarpins à talons hauts noirs, une robe légère bleue. Cette grande brune qui se plaignait toujours de ses deux ou trois kilos de trop, c’est moi. Et puisque les accessoires font la féminité j’avais complété l’ensemble par un sautoir en perles ainsi qu’un gros bracelet noir. Je m’appelle Iphigénie Lambert, et pour simplifier cette présentation j’ai 27 ans, célibataire et je suis cadre commerciale dans une grande banque.
A ma droite, Audrey, grande brune sexy, toute mince, longs cheveux soyeux, yeux verts rieurs, rouge à lèvre rose fuchsia mat mettant en avant un sourire franc au moment de prononcer une blague grivoise. Elle portait une blouse en soie blanche très décolletée sur un pantalon en coton enduit brun près du corps, la silhouette était complétée par un immense sac en toile gris et des sandales compensées roses. Elle allait avoir 35 ans, mais on ne lui en donnait pas plus de 30. Elle était mariée depuis 7 ans à François, chirurgien esthétique. Ils ont trois enfants : Thomas, Marie et Corentin. Nous travaillons ensemble depuis 3 ans.
A côté d’elle, Cécile, châtain clair, les cheveux courts et décoiffés, un look de baroudeuse, un jeans sur des bottines en cuir noir et marcel blanc moulant son corps mince presque androgyne. Derrière ses petites lunettes des yeux bleus ciel, un maquillage très léger et des lèvres roses poudrées. Elle était psychologue, célibataire, pas mécontente de l’être et ce même à 32 ans.
En face d’elle, juste à ma gauche, Anne, silhouette généreuse avec des fesses et des seins rebondis, une coupe fun et légère, des lèvres pulpeuses non maquillées, elle était fiancée à Mathieu, informaticien, depuis 1 an environ et ce après 4 années de vie commune. Sa tenue se composait d’une petite robe patineuse noire associée à des petites sandales or. Un solitaire monté sur céramique blanche pare joliment son annulaire gauche. Sa folie ? Un sac BB rouge posé négligemment à côté d’elle. Elle était propriétaire d’un salon de coiffure depuis 3 ans. Elle venait de fêter son trente-et-unième anniversaire.
Et enfin la cinquième, Fany, petit bout de femme, jolie métisse, fluette avec des cheveux mi-longs noirs assortis d’yeux de la même couleur. Toute de blanc vêtu elle sirotait négligemment son mojito à la grenade. Ses deux téléphones posés à côté d’elle, le professionnel pour son emploi d’architecte et le personnel sur le quel on pouvait apercevoir une photo de Nicolas, ingénieur en génie civil, son compagnon. Ils étaient tous les deux âgés de 27 ans et avaient emménagé ensemble depuis quelques semaines seulement.
Comme d’habitude, nous nous retrouvions en centre ville pour boire un verre et parler des aventures, sentimentales, professionnelles ou sexuelles des unes et des autres.
Iphigénie : Tant que j’y pense les filles j’ai rencontré un mec. Mais le genre trop beau pour être vrai…
Audrey : Raconte !
Iphigénie : Alors on va commencer par ma journée de jeudi. Je donnais un cours au lycée, au moment de la pause de 1heure je sors prendre l’air, j’en profite pour discuter avec une collègue prof de français de la classe que nous avons en commun, vous savez celle à qui je donne des cours de…
Cécile : Tu sais que ça on s’en fout, non ?
Vous pouvez le télécharger ici.
J'essaie juste de faire connaître un peu mon roman dans l'attente d'une publication par un éditeur. En vous remerciant de votre intérêt.