J’éprouve devant Marine Le Pen un mélange assez désagréable de terreur et d’énervement profond. Comme si le monstre sous le lit venait me parler de trucs avec lesquels je ne suis absolument pas d’accord, tout en se victimisant et en adoptant des mécanismes de non-débat horripilants. (ne pas répondre aux questions, noyer le poisson, préférer l’attaque a la défense, prêter de faux discours a ses interlocuteurs… épuisant et révoltant)
Mais la je voudrais surtout reagir sur le renvoi de Gerard Dahan, qui me fait bondir :
On peut aimer ce genre d'humour ou pas, être d'accord avec le principe du canular sur des hommes politiques dans le but de les faire s'auto saborder ou pas, mais personnellement cette affaire me hérisse. Le droit a l'humour sur tous les sujets et surtout sur la politique est pour moi le point de départ de la liberté d'expression.
Rires et chansons, je vous dis merde, je ne vous écouterais point dorénavant.