J'avais essayé de le lire mais euh...
J'avais RIEN compris. Parce que voilà, c'est pas très linéaire.
Bon, on va dire que c'est pas une lecture super facile non plus ( en même temps, j'ai abandonné l'hypokhâgne dès le début... à la même époque en fait... ) mais Kateb Yacine vaut largement la peine en tant qu'auteur et en tant qu'homme qu'on le lise. Justement, c'est un des écrivains algériens emblématiques et les thèmes qu'il aborde et dont tu parles ( comment construire son identité pour qu'elle réponde à des critères étrangers, le racisme, le rêve, l'initiation ) mettent très bien en perspective les problèmes de la décolonisation.
Je me souviens que j'avais aussi lu un recueil de poèmes qu'il avait écrit à l'adolescence, après les émeutes de Sétif du 8 mai 1945, et qui annonçaient déjà son talent.
Alors BIG UP pour Kateb Yacine !