Hello les filles !
J'ai écrit un article sur les one night stands mais sous un angle d'approche différent. Non pas pour en faire une critique ou une éloge, mais du point de vue des filles qui ne sont partantes à la base et qui se rendent compte que souvent, pour être avec un mec qui nous plait, on a pas d'autres choix que de craquer.
Voici l'intro, j'espère que vous aimerez, n'hésitez pas à critiquer et/ou commenter mon blog !
Crime Of Fashion ♥
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On dit que les filles sont capricieuses, qu'elles font tourner les mecs en bourrique et obtiennent ce qu'elles veulent quand elles le veulent ? Balivernes ! Bien que nous soyons dans la seconde génération d'hommes féministes, j'ai personnellement toujours l'impression que les choses n'ont pas vraiment changées. Est-ce de leur faute ou de la nôtre ? Parfois, j'en viens à penser les deux. Nous les filles, femmes, demoiselles, dames, sommes à une époque où nous pouvons assumer carrière, famille, libido et le tout avec style. Nous avons suffisamment prouvé que nous étions à la hauteur, chose que nous savions depuis toujours mais que l'homme redoutait d'admettre. Bien que les féministes trash se font de plus en plus nombreuses et réduisent l'homme à son utilité première : le sex toy ; d'autres hétéros et romantiques dans l'âme croient encore au grand amour et au fait qu'une relation stable et durable est possible. Je suis de la deuxième catégorie. Vous aussi ? Parfait, il nous reste plus qu'à croiser le regard d'un charmant jeune homme, avoir quelques points communs avec lui et commencer une relation devient alors une évidence. « FAUX ! ». Parce que le jeune homme que vous avez rencontré dans ce bar sympa, qui vous a dévoré discrètement des yeux pendant une heure avant de finalement venir vous murmurer à l'oreille un timide mais étonnamment efficace « Vous êtes jolie », n'est pas ici par hasard. Malgré son air timide mais pas trop qui vous a fait craquer – vous la fille folle d'hommes Hugo Boss qui montent les immeubles en marchant à la verticale sur la façade le tout avec style et assurance – ce charmant individu n'en reste pas moins un bougre en puissance. Vos yeux brillant et votre sourire se formant inconsciemment sur vos lèvres tandis qu'il vous parle, baissant parfois les yeux par gêne, vous font oublier quelques questions existentielles qui referont inévitablement surface que bien plus tard, parfois même trop tard.
Une relation, c'est bien. Mais quel genre ?
Étant du type traditionnel et peut être même vieux jeu, je ne suis que spectatrice de certains types de relations. Ces derniers temps, j'ai vu mes amies, des filles que je connais de près comme de loin s'enfoncer dans des relations que je ne peux m'empêcher de juger néfastes : les fuck friends, les one-night-stands et autres. Je sais, je sais, on est en 2012, on ne vit qu'une fois, décoince toi Bérengère, blablabla... moi je trouve toujours ça mauvais pour le cœur. Ça ne serait pas un problème si les filles qui étaient adeptes pouvaient faire ça de leur côté et les autres du leur. Sauf que ça en devient un quand le charmant Célestin légèrement timide s'attend à ce que vous soyez sont 37 coup d'un soir du trimestre. Après tout, il n'a pas tord notre petit ange en surface, pourquoi rester coincé dans une relation quand toutes les filles de la salle sauf vous acceptent de ne pas s'engager, de passer une nuit passionnée et sans lendemain ? Vous, la romantique-twilight-naïve se retrouve bêtement avec seulement deux possibilités : accepter ou refuser.
J'ai écrit un article sur les one night stands mais sous un angle d'approche différent. Non pas pour en faire une critique ou une éloge, mais du point de vue des filles qui ne sont partantes à la base et qui se rendent compte que souvent, pour être avec un mec qui nous plait, on a pas d'autres choix que de craquer.
Voici l'intro, j'espère que vous aimerez, n'hésitez pas à critiquer et/ou commenter mon blog !
Crime Of Fashion ♥
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On dit que les filles sont capricieuses, qu'elles font tourner les mecs en bourrique et obtiennent ce qu'elles veulent quand elles le veulent ? Balivernes ! Bien que nous soyons dans la seconde génération d'hommes féministes, j'ai personnellement toujours l'impression que les choses n'ont pas vraiment changées. Est-ce de leur faute ou de la nôtre ? Parfois, j'en viens à penser les deux. Nous les filles, femmes, demoiselles, dames, sommes à une époque où nous pouvons assumer carrière, famille, libido et le tout avec style. Nous avons suffisamment prouvé que nous étions à la hauteur, chose que nous savions depuis toujours mais que l'homme redoutait d'admettre. Bien que les féministes trash se font de plus en plus nombreuses et réduisent l'homme à son utilité première : le sex toy ; d'autres hétéros et romantiques dans l'âme croient encore au grand amour et au fait qu'une relation stable et durable est possible. Je suis de la deuxième catégorie. Vous aussi ? Parfait, il nous reste plus qu'à croiser le regard d'un charmant jeune homme, avoir quelques points communs avec lui et commencer une relation devient alors une évidence. « FAUX ! ». Parce que le jeune homme que vous avez rencontré dans ce bar sympa, qui vous a dévoré discrètement des yeux pendant une heure avant de finalement venir vous murmurer à l'oreille un timide mais étonnamment efficace « Vous êtes jolie », n'est pas ici par hasard. Malgré son air timide mais pas trop qui vous a fait craquer – vous la fille folle d'hommes Hugo Boss qui montent les immeubles en marchant à la verticale sur la façade le tout avec style et assurance – ce charmant individu n'en reste pas moins un bougre en puissance. Vos yeux brillant et votre sourire se formant inconsciemment sur vos lèvres tandis qu'il vous parle, baissant parfois les yeux par gêne, vous font oublier quelques questions existentielles qui referont inévitablement surface que bien plus tard, parfois même trop tard.
Une relation, c'est bien. Mais quel genre ?
Étant du type traditionnel et peut être même vieux jeu, je ne suis que spectatrice de certains types de relations. Ces derniers temps, j'ai vu mes amies, des filles que je connais de près comme de loin s'enfoncer dans des relations que je ne peux m'empêcher de juger néfastes : les fuck friends, les one-night-stands et autres. Je sais, je sais, on est en 2012, on ne vit qu'une fois, décoince toi Bérengère, blablabla... moi je trouve toujours ça mauvais pour le cœur. Ça ne serait pas un problème si les filles qui étaient adeptes pouvaient faire ça de leur côté et les autres du leur. Sauf que ça en devient un quand le charmant Célestin légèrement timide s'attend à ce que vous soyez sont 37 coup d'un soir du trimestre. Après tout, il n'a pas tord notre petit ange en surface, pourquoi rester coincé dans une relation quand toutes les filles de la salle sauf vous acceptent de ne pas s'engager, de passer une nuit passionnée et sans lendemain ? Vous, la romantique-twilight-naïve se retrouve bêtement avec seulement deux possibilités : accepter ou refuser.