.Amychu., tu le juges comment le niveau d'anglais de
1984? Je l'ai dans ma bibliothèque en anglais aussi, je ne devrais pas trop avoir de soucis à le comprendre mais j'ai pas non plus envie de me prendre la tête avec mon dico toutes les cinq minutes si l'anglais est vraiment trop soutenu
J'ai commencé le dernier Nothomb,
Une forme de vie. Je ne voulais pas l'acheter parce que je me suis lassée de son style d'écriture à force et que l'histoire ne me disait pas grand chose mais comme on me l'a offert...
Je n'arrive pas à dépasser la centième page. Je le trouve lent, pas intéressant. Les parties "lettres" du soldat se lisent à la limite assez facilement, mais alors les parties narratives de Nothomb... Rébarbatives.
J'ai lu beaucoup de bonnes critiques pourtant, mais là je suis vraiment déçue... Je le laisse à portée de main, j'aurais peut-être le courage de le reprendre un jour et de revoir mon opinion, qui-sait, il peut devenir bien à partir de la page 101 (ou pas).
Du coup je l'ai laissé en plan pour en lire d'autres, à commencer par
Retour à rédemption, de Patrick Graham que j'ai dévoré. Exactement le style d'écriture que j'aime. Simple, direct, on ne s'encombre pas de détails inutiles qui gâchent le plaisir. Je le recommande en tout cas.
Boomerang de Tatiana de Rosnay, le troisième que je lis d'elle. Pour la première fois, un livre a presque réussi à me faire pleurer, chose qui ne m'arrive jamais.
Un Harlan Coben pour ne pas changer mes habitudes, en anglais,
Long Lost (je crois que le titre français est
Sans laisser d'adresse). C'est du Coben, et surtout un Bolitar, je ne pouvais qu'aimer