Je viens de commencer Le roman de Pauline de Calixthe Beyala. Ca coule tout seul, normal, c'est une enfant qui raconte. Ca me fait penser à La vie devant soi, de Romain Gary/Emile Ajar, version féminin. Ce sont les épreuves non corrigées que je lis, et là je me rends compte à quel point le boulot de l'éditeur est important, car c'est bourré de fautes ! Je me demande d'ailleurs s'il y a eu des corrections importantes (au-delà de l'orthographe, dans le récit). Bref, hormis les erreurs, ça me plaît assez.