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C'est horrible ce qu'elle te fait. Couragz.
Topic des Childfree-No Kid : pas de débat relatif au choix d'avoir des enfants ici
- Initiateur de la discussion Membre supprimé 331973
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- Mots-clés
- childfree
Bon c'est sur pour moi, je ne supporte pas les enfants. J'ai depensé 50 livres pour que ma mere et moi fassions un tour de barque touristique autour de Cambridge, mais un gosse de 2ans a pas arreté de piailler et parler pendant que le guide parlait. Resultat, pas entendu grand chose. Ca me cramais de pas hurler MAIS FERME TA GUEULE.
Ma mere, ça l'a pas dérangé, parce que "elle est prete a devenir grand mere". Moi ca m'a donné envie de m'arracher l'utérus.
Ma mere, ça l'a pas dérangé, parce que "elle est prete a devenir grand mere". Moi ca m'a donné envie de m'arracher l'utérus.
M
Membre supprimé 247581
Guest
Les enfants qui se mettent dans tes pattes en espérant que tu leur dises : « oh t’es trop mignon 
» parce les adultes les ont habitués à ce qu’ils soient le centre du monde.
Et bah non. Moi quand je bosse, j’aime pas qu’on se mette en travers de mon chemin.
» parce les adultes les ont habitués à ce qu’ils soient le centre du monde.Et bah non. Moi quand je bosse, j’aime pas qu’on se mette en travers de mon chemin.
Au boulot ça n'arrête pas de parler d'avoir des enfants. Ca me fait beaucoup rire parce que l'ironie est à peine masquée dans leurs commentaires, ils n'arrivent même plus à être convaincants quand ils sortent leur fameux "mais c'est que du bonheur" ou "si c'était à refaire on le referait". Je suis contente pour toi Michel, mais perso ma vie est belle sans enfants et je suis heureuse aussi comme ça?
D'ailleurs ça m'a fait "plaisir" parce que pour une fois, une étudiante en alternance a répondu à ce fameux Michel un bon gros "non les enfants, je n'ai rien contre, mais pas dans ma vie" quand il lui a dit "tu verras quand tu auras des enfants". Elle a même surenchéri avec un "non mais tu sais on peut super bien vivre sans enfants" et "ben les côtés positifs à en avoir, je les trouve pas, déso"
D'ailleurs ça m'a fait "plaisir" parce que pour une fois, une étudiante en alternance a répondu à ce fameux Michel un bon gros "non les enfants, je n'ai rien contre, mais pas dans ma vie" quand il lui a dit "tu verras quand tu auras des enfants". Elle a même surenchéri avec un "non mais tu sais on peut super bien vivre sans enfants" et "ben les côtés positifs à en avoir, je les trouve pas, déso"
@Potimarron. Slate avait consacré un article à cette question : https://www.slate.fr/story/191091/poids-bebe-faire-part-naissance-signe-identitaire-bonne-sante
@Potimarron. mais a chaque annonce de naissance, c'est exactement ca, surtout qu'on en a que faire de ces infos!!
le pire c'est quand la mère précise qu'elle a eu une césarienne, je l'ai vu une fois, je n'ai pas compris l'intérêt de cette information, juste l'enfant est né, il va bien, la mère va bien c'est largement suffisant!!!
le pire c'est quand la mère précise qu'elle a eu une césarienne, je l'ai vu une fois, je n'ai pas compris l'intérêt de cette information, juste l'enfant est né, il va bien, la mère va bien c'est largement suffisant!!!
Perso j'arrive à comprendre pourquoi les gens donnent autant de détails. Déjà il y a le côté santé (ils sont fiers d'avoir mis au monde un enfant en bonne santé, même si c'est indépendant d'eux et qu'il n'y aurait aucune honte à avoir si le bébé avait des problèmes).
Par ex. dans ma famille les femmes sont fières d'avoir mis au monde un gros bébé, c'est la récompense pour toutes les souffrances endurées, et puis ça rassure le reste de la famille. J'imagine qu'à une époque c'était très corrélé aux chances de survie.
Et puis quand je vois mes collègues qui font la même chose pour leur nouvelle bagnole sur les RS, ou leurs animaux de compagnie, je me dis juste que les gens sont tellement heureux et fiers qu'ils ont envie de partager le maximum de détails.
Pour vous dire, même sur un groupe de charcuterie que je suis, les gens font pareil "voilà un magnifique jambon de 3kg que je viens de finir d'affiner, 18 mois de sèche, 45% de perte en humidité, porc noir de Bigorre, on va le déguster ce soir lors de l'anniversaire de ma femme"
.
Donc pourquoi pas "le petit Jean-Machin est arrivé ce lundi 5 février à 8h du matin, il pèse 3kg400 et fait 51cm, la maman et lui se portent bien" . Si je peux m'intéresser à la cylindrée d'un moteur de voiture ou au poids d'un jambon, je peux bien m'intéresser à celui de la petite voisine qui vient de naître !
Bon sinon j'ai eu le droit à un cas encore l'autre jour.
Par ex. dans ma famille les femmes sont fières d'avoir mis au monde un gros bébé, c'est la récompense pour toutes les souffrances endurées, et puis ça rassure le reste de la famille. J'imagine qu'à une époque c'était très corrélé aux chances de survie.
Et puis quand je vois mes collègues qui font la même chose pour leur nouvelle bagnole sur les RS, ou leurs animaux de compagnie, je me dis juste que les gens sont tellement heureux et fiers qu'ils ont envie de partager le maximum de détails.
Pour vous dire, même sur un groupe de charcuterie que je suis, les gens font pareil "voilà un magnifique jambon de 3kg que je viens de finir d'affiner, 18 mois de sèche, 45% de perte en humidité, porc noir de Bigorre, on va le déguster ce soir lors de l'anniversaire de ma femme"
. Donc pourquoi pas "le petit Jean-Machin est arrivé ce lundi 5 février à 8h du matin, il pèse 3kg400 et fait 51cm, la maman et lui se portent bien"
. Si je peux m'intéresser à la cylindrée d'un moteur de voiture ou au poids d'un jambon, je peux bien m'intéresser à celui de la petite voisine qui vient de naître !Bon sinon j'ai eu le droit à un cas encore l'autre jour.
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Membre supprimé 374825
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Peut-être parce que la société ne nous fait pas chier avec le fait qu'on n'ait pas de passion pour la charcuterie. Tous les jours de toute notre vie, sur un ton faussement compatissant, accusateur, amer, revanchard, de reproches : personne ne va jamais t'engueuler avec l'assentiment général (et le renchérissement de la moitié du public présent) si tu ne t'intéresses pas au séchage du saucisson.
Par contre, les enfants, c'est tous les jours. En plus ce sont des données médicales : perso ça me mettrait mal à l'aide qu'un adulte se présente en disant "Salut, je pèse xx kilos dont x% de matière grasse, je mesure xx, je suis séronegatif, de groupe sanguin machin et immunisé a telles et telles maladies".
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Tiens je viens de tomber sur cet article :
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www.liberation.fr
Mes passages préférés :
évidement les belles-mères récup toute la charge mentale sans rien en retour :
«A 29 ans, tandis que mes copines sortaient et faisaient la grasse mat’, moi j’ai tout de suite filé un coup de main, étendu des machines de petites culottes, fait des courses, fait à manger, explique Aurélie Soubiran. Je me suis souciée de leur éducation, mais sans avoir l’affection en retour. Je n’ai pas eu tout de suite des câlins, des embrassades. C’est ça le plus dur. Ça prend beaucoup plus de temps qu’avec ses propres enfants.»
Et évidemment il y a un double standard :
«C’est nettement plus facile d’être beau-père. Il n’y a pas d’attente et la pression n’est pas comparable. La charge mentale n’est pas la même. Les attentes sociales ne sont pas les mêmes. Le niveau d’exigence est nettement moins élevé pour les hommes que pour les femmes en matière de parentalité. Tout ça est étayé par des statistiques, partout et tout le temps : les belles-mères s’investissent énormément et beaucoup plus que les beaux-pères.» Injustice suprême : malgré leur moindre implication, 50 % des enfants se sentent proches de leur beau-père et seulement 20 % de leur belle-mère (1) ! Jocelyn (2), architecte de 37 ans, l’affirme sans détour : «J’avais 32 ans quand j’ai rencontré ma femme. Elle avait deux filles âgées de 2 et 3 ans en garde exclusive, et on s’est installés quand j’avais 34 ans. Dès le début, elle m’a dit : “Tu as carte blanche, n’hésite pas à participer à l’éducation ou à les reprendre s’il le faut.” Or dans les faits, c’était un peu plus compliqué. Elle les protégeait beaucoup et surtolérait leurs bêtises. Finalement, avec le temps, on s’est un peu huilés, mais elle fait beaucoup plus que moi en termes de charge mentale et tâches ménagères.»
Qui est surpris ? Pas moi
Le mal de belle-mère : ces femmes qui se retrouvent à vivre avec les enfants de leur compagnon
Elles ont entre 30 et 40 ans et témoignent d’un sentiment d’errance en belle-parentalité, sans statut ni ressources pour se sentir pleinement légitimes.
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Mes passages préférés :
évidement les belles-mères récup toute la charge mentale sans rien en retour :
«A 29 ans, tandis que mes copines sortaient et faisaient la grasse mat’, moi j’ai tout de suite filé un coup de main, étendu des machines de petites culottes, fait des courses, fait à manger, explique Aurélie Soubiran. Je me suis souciée de leur éducation, mais sans avoir l’affection en retour. Je n’ai pas eu tout de suite des câlins, des embrassades. C’est ça le plus dur. Ça prend beaucoup plus de temps qu’avec ses propres enfants.»
Et évidemment il y a un double standard :
«C’est nettement plus facile d’être beau-père. Il n’y a pas d’attente et la pression n’est pas comparable. La charge mentale n’est pas la même. Les attentes sociales ne sont pas les mêmes. Le niveau d’exigence est nettement moins élevé pour les hommes que pour les femmes en matière de parentalité. Tout ça est étayé par des statistiques, partout et tout le temps : les belles-mères s’investissent énormément et beaucoup plus que les beaux-pères.» Injustice suprême : malgré leur moindre implication, 50 % des enfants se sentent proches de leur beau-père et seulement 20 % de leur belle-mère (1) ! Jocelyn (2), architecte de 37 ans, l’affirme sans détour : «J’avais 32 ans quand j’ai rencontré ma femme. Elle avait deux filles âgées de 2 et 3 ans en garde exclusive, et on s’est installés quand j’avais 34 ans. Dès le début, elle m’a dit : “Tu as carte blanche, n’hésite pas à participer à l’éducation ou à les reprendre s’il le faut.” Or dans les faits, c’était un peu plus compliqué. Elle les protégeait beaucoup et surtolérait leurs bêtises. Finalement, avec le temps, on s’est un peu huilés, mais elle fait beaucoup plus que moi en termes de charge mentale et tâches ménagères.»
Qui est surpris ? Pas moi
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