EDIT : Je viens de voir que je me suis bien plantée sur ce coup là. J'ai clairement été trop vite. Voila ce qui arrive quand on le lit pas les règles avant de poster. Je ne sais pas si ce que je viens d'écrire peut rester là, à condition de changer le titre, ou si ça doit être déplacer dans sujet libre. Si une animeuz pouvait me dire ce que je dois faire je l'en remercie d'avance.
Je suis désolée pour l'erreur. Et promis je reprend les bonnes habitudes et je lis avant de poster, n'importe comment il faut bien le dire.
Tant de réveil en pleurs. Ne plus vouloir ce lever, ne plus savoir.
Rester couchée dans ce lit de douleur. Restée cachée, à l'écart de tout, à l'écart d'un monde sans "Lui".
Prostrée dans ma tanière.
J'en ai passer des heures, des jours, et des semaines à tout ressasser. A tout revivre . Revivre tous ces moments. A n'avoir plus qu'une chose, qu'on ne pourrait jamais me retirer, souvenirs.
A relire tant de lettre. Arriver à entendre encore le son de "Sa" voix , les mots qu'"Il" me murmurait, toutes ces belles promesses d'éternité. "Le" sentir encore près de moi, la chaleur de ses bras, son souffle dans mon coup, son coeur qui bat contre le mien, ses mains sur ma peau, ses lèvres sur les miennes.
Et puis le silence, le vide. Plus rien ne suffit. Avoir mal, physiquement. Mal à en crever.
Le vide, le désespoir. Tant de douleur. Les larmes qui coulent. Hurler des mots incompréhensibles perdus dans mes sanglots.
N'être plus que douleur. Avoir perdu toute envie, toute raison de continuer.
Juste pleurer, hurler, sangloter.
Le visage rouge comme les pivoines, les yeux gonflés, les joues trempées, le coeur lacéré. N'être plus que ça, ne plus exister. Juste un fantôme.
Ne vivre que pour quelque chose qui n'est plus.
L'imaginer un jour avec une autre. L'entendre lui répéter tout ces mots qui me faisaient exister.
Ne plus vouloir vivre, ne plus pouvoir.
Personne. Ne vouloir parler à personne, voir personne. Des jours, des semaines et même des mois.
être agressée par la moindre vision du monde extérieur. D'un monde sans Nous, qui continue de tourner. Intolérable douleur.
Le temps qui passe et qui n'arrange rien. Les heures, les jours et les semaines qui s'égrainent. Qui l'éloignent toujours un peu plus de moi, de Nous.
Le temps qui passe inexorablement.
Tout passe pourtant il parait. Ces mots résonnent dans ma têtes. Rien que des mensonges. Perdue dans ma douleur, rien ne passe.
Tout ces gens qui le répètent : "Tout passe , un jour tu verras, tu n'auras plus mal. Pas maintenant, non, mais un jour, ça arrivera. Parce que c'est comme ça, tout simplement, tout passe. Et même que tu aimeras de nouveau." .
Que de mensonges, de fausses illusions. Seul le temps passe. La douleur, le vide, l'angoisse, toutes ces émotions, elles restent là. Chaque geste me coute. De plus en plus.
Le désespoir s'approfondit, prend le pas sur la douleur.
Je n'étais que douleur.
Je ne suis que désespoir. Je vois la vie en noir, mon avenir incertain, flou. Comme recouvert d'un brouillard.
Il y a ces gens, que j'ai laisser entrer. Leur voix lointaine qui résonne à mes oreilles comme un échos.
Ils sont encore là, ils n'ont pas abandonner. Ils m'aiment. J'existe.
Leur mots reprennent un sens. Leur gestes.
La façon qu'ils ont d'être là, malgrès tout. Malgrès ce que je suis devenue. L'ombre de moi même, un fantôme.
Je n'ai plus rien à leur offrir, il n'y a plus rien à prendre. Mais ils sont là. Pour moi.
Je les aime. J'ai besoin d'eux, de nouveau. J'existe.
Je répond à leur appel. Et puis même je les cherche du regard, je cherche leur mains. J'ai besoin d'eux de leur amour. Je les aime tant.
Je pleure de nouveau, dans leur bras, contre leurs épaules. Et puis je rie. Je ne sais pas encore pourquoi. Le son de mon rire me surprend, comme l'impression qu'il vient de quelqu'un d'autre. Perturbant. Et puis je m'y habitue. Je souris, je rie.
Je vis.
Il me manque. Ce vide au fond de mon coeur. Dans ma vie. Il me manque.
Je vis.
Je me réveille parfois en me disant que ça aller maintenant. Qu'il ne me manque plus tant que ça. Que je vais y arriver. Qu'ils avaient raison tout passe.
Grave erreur puisque j'y pense encore.
Le temps passe . Perdue dans mes rires, dans mes sourires. Avec Eux, encore. La vie est jolie.
Je suis heureuse, tout simplement heureuse.
Je n'en fait pourtant pas le constat. Les choses sont justes comme elles sont, naturellement belles.
Et puis j'aime de nouveau. Je quitte, on me quitte. Je virevolte.
Je me demande si un jour j'aimerais de nouveau comme j'ai aimer. Des étoiles dans les yeux en y pensant. J'imagine.
Je me méprend j'y crois, et puis non, tant pis je me suis juste trompée. On verra bien, j'ai la vie devant moi. Et puis elle est si jolie.
Un jour une rencontre. Une évidence qui s'installe.
Un amour qui dépasse tout. Un sentiment encore jamais ressenti. Du bonheur à en avoir à revendre. Un amour si fort que je pourrais presque le toucher du doigts.Je vis sur un nuage. Au dessus du monde. Notre monde à Nous. Mon amour...
La peur qui vient tout gâcher. Aller presque jusque commettre l'irréparable. Par peur, juste par peur.
Et puis réaliser que de toute façon, même si les choses devaient recommencer. Même si tout ça devait encore s'arrêter.
Ce ne sont pas que des mots que l'on prononce pour rassurer. C'est la plus exact des vérités.
Tout passe.
Je suis désolée pour l'erreur. Et promis je reprend les bonnes habitudes et je lis avant de poster, n'importe comment il faut bien le dire.
Tant de réveil en pleurs. Ne plus vouloir ce lever, ne plus savoir.
Rester couchée dans ce lit de douleur. Restée cachée, à l'écart de tout, à l'écart d'un monde sans "Lui".
Prostrée dans ma tanière.
J'en ai passer des heures, des jours, et des semaines à tout ressasser. A tout revivre . Revivre tous ces moments. A n'avoir plus qu'une chose, qu'on ne pourrait jamais me retirer, souvenirs.
A relire tant de lettre. Arriver à entendre encore le son de "Sa" voix , les mots qu'"Il" me murmurait, toutes ces belles promesses d'éternité. "Le" sentir encore près de moi, la chaleur de ses bras, son souffle dans mon coup, son coeur qui bat contre le mien, ses mains sur ma peau, ses lèvres sur les miennes.
Et puis le silence, le vide. Plus rien ne suffit. Avoir mal, physiquement. Mal à en crever.
Le vide, le désespoir. Tant de douleur. Les larmes qui coulent. Hurler des mots incompréhensibles perdus dans mes sanglots.
N'être plus que douleur. Avoir perdu toute envie, toute raison de continuer.
Juste pleurer, hurler, sangloter.
Le visage rouge comme les pivoines, les yeux gonflés, les joues trempées, le coeur lacéré. N'être plus que ça, ne plus exister. Juste un fantôme.
Ne vivre que pour quelque chose qui n'est plus.
L'imaginer un jour avec une autre. L'entendre lui répéter tout ces mots qui me faisaient exister.
Ne plus vouloir vivre, ne plus pouvoir.
Personne. Ne vouloir parler à personne, voir personne. Des jours, des semaines et même des mois.
être agressée par la moindre vision du monde extérieur. D'un monde sans Nous, qui continue de tourner. Intolérable douleur.
Le temps qui passe et qui n'arrange rien. Les heures, les jours et les semaines qui s'égrainent. Qui l'éloignent toujours un peu plus de moi, de Nous.
Le temps qui passe inexorablement.
Tout passe pourtant il parait. Ces mots résonnent dans ma têtes. Rien que des mensonges. Perdue dans ma douleur, rien ne passe.
Tout ces gens qui le répètent : "Tout passe , un jour tu verras, tu n'auras plus mal. Pas maintenant, non, mais un jour, ça arrivera. Parce que c'est comme ça, tout simplement, tout passe. Et même que tu aimeras de nouveau." .
Que de mensonges, de fausses illusions. Seul le temps passe. La douleur, le vide, l'angoisse, toutes ces émotions, elles restent là. Chaque geste me coute. De plus en plus.
Le désespoir s'approfondit, prend le pas sur la douleur.
Je n'étais que douleur.
Je ne suis que désespoir. Je vois la vie en noir, mon avenir incertain, flou. Comme recouvert d'un brouillard.
Il y a ces gens, que j'ai laisser entrer. Leur voix lointaine qui résonne à mes oreilles comme un échos.
Ils sont encore là, ils n'ont pas abandonner. Ils m'aiment. J'existe.
Leur mots reprennent un sens. Leur gestes.
La façon qu'ils ont d'être là, malgrès tout. Malgrès ce que je suis devenue. L'ombre de moi même, un fantôme.
Je n'ai plus rien à leur offrir, il n'y a plus rien à prendre. Mais ils sont là. Pour moi.
Je les aime. J'ai besoin d'eux, de nouveau. J'existe.
Je répond à leur appel. Et puis même je les cherche du regard, je cherche leur mains. J'ai besoin d'eux de leur amour. Je les aime tant.
Je pleure de nouveau, dans leur bras, contre leurs épaules. Et puis je rie. Je ne sais pas encore pourquoi. Le son de mon rire me surprend, comme l'impression qu'il vient de quelqu'un d'autre. Perturbant. Et puis je m'y habitue. Je souris, je rie.
Je vis.
Il me manque. Ce vide au fond de mon coeur. Dans ma vie. Il me manque.
Je vis.
Je me réveille parfois en me disant que ça aller maintenant. Qu'il ne me manque plus tant que ça. Que je vais y arriver. Qu'ils avaient raison tout passe.
Grave erreur puisque j'y pense encore.
Le temps passe . Perdue dans mes rires, dans mes sourires. Avec Eux, encore. La vie est jolie.
Je suis heureuse, tout simplement heureuse.
Je n'en fait pourtant pas le constat. Les choses sont justes comme elles sont, naturellement belles.
Et puis j'aime de nouveau. Je quitte, on me quitte. Je virevolte.
Je me demande si un jour j'aimerais de nouveau comme j'ai aimer. Des étoiles dans les yeux en y pensant. J'imagine.
Je me méprend j'y crois, et puis non, tant pis je me suis juste trompée. On verra bien, j'ai la vie devant moi. Et puis elle est si jolie.
Un jour une rencontre. Une évidence qui s'installe.
Un amour qui dépasse tout. Un sentiment encore jamais ressenti. Du bonheur à en avoir à revendre. Un amour si fort que je pourrais presque le toucher du doigts.Je vis sur un nuage. Au dessus du monde. Notre monde à Nous. Mon amour...
La peur qui vient tout gâcher. Aller presque jusque commettre l'irréparable. Par peur, juste par peur.
Et puis réaliser que de toute façon, même si les choses devaient recommencer. Même si tout ça devait encore s'arrêter.
Ce ne sont pas que des mots que l'on prononce pour rassurer. C'est la plus exact des vérités.
Tout passe.