Alors, c'est facile, parce que d'abord, je suis jeune (16 ans et quelques mois), et je me suis déjà fait ce plan dans ma tête.
Alors, à partir du moment où mon audition c'est développé, vers 6 ans on va dire, j'écoutais des trucs que mes parents/frères/soeurs écoutais, c'est à dire : Zebda (je connais ESSENCE ORDINAIRE par coeur), Louise Attaque (premier concert de ma vie à 9-10 ans), Mc Solaar (j'ai la cassette avec CAROLINE), IAM (l'école du micro d'argent tkt), et oui, aussi Billy the kick, qui, je crois, à disparu de la circulation (perso j'ai mis le cd dans le cerisier de mon jardin pour faire fuir les oiseaux), mais aussi du jazz/manouche ou non/. C'était frais, quoi. Et mon frère (de 5 ans de plus que moi) est rentré dans la rebellion et s'est mis à écouter du rap et Skyrock (j'avais environ 11 ans). Il me gardait souvent le soir et il écoutait la radio en même temps, donc, forcément, j'ai suivi. J'ai sombré dans le rap francais : Rohff, Sniper... (Que du bon dis moi)
tout en continuant d'écouter les artistes précedemment citer, et de la chanson francaise (ouiouioui, à Carla Bruni _de l'époque, j'entends bien_). Puis, en 5ème, je suis tombée amoureuse d'un garçon qui écoutait le mouv', alors, forcément, j'ai écouté. Et j'ai grave kiffer ma race : MUSE, Placebo, Pleymo, Red hot, Artic Monkeys etc... C'était du lourd. Ensuite, est apparut les "bébés rockeurs", et c'était trop mon truc, les Naast, les Plastiscines, les Parisians, les BB Brunes. Mais, attention, moi, j'écoutais ça en 4ème/3ème, pas comme les filles qui découvrent ça maintenant. Bref. Puis je me suis calmée, et un peu ouvert l'esprit. Désormais j'écoute de tout, ou presque (pas de rnb, ni de variétoche) : de Outkast à Ayo, de Cocoon à Amy Whinehouse, de Muse à Patrice, The cat empire, Emilie Simon, Bombes 2 Bal (groupe de TOLOSA), Georges Brassens, Déportivo, Dick Annegarn, Vincent Delerm, Eminem, PeteR Doherty... La liste est tellement longue, et je crois que je ne regrette aucune étape de mon évolution musicale, c'est ce qui fait ce que j'écoute actuellement, un tout, et non pas un "genre" particulier.