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Aaah ok, j'avais compris à l'extérieur moi... désolée. Vous parlez bien de la sortie de métro qui donne directement dans le carrousel?
Mais oui en effet, je ne vois pas du tout où on va se poser dans la pyramide, surtout en "grand" groupe mais je fais confiance @Camouille la grenouille pour ça
Coucou.
J'aurai sans doute 20 à 30min de retard...
Quand vous serez vraiment posées, l'une de vous pourrait poster ici ou m'envoyer un sms pour celles qui l'ont pour expliquer où vous êtes exactement? ce serait mignon
Pour me faire pardonner, en tant que vieille prévoyante que je suis, j'ai desggobelets et du Sopalin
Bon, c'était laborieux cette deuxième rencontre mais on s'en est sorti même en échouant à corrompre le garde de sécurité du Louvre !
Faudrait qu'on trouve un endroit couvert, et pas bruyant, et avec peu de monde, et où on puisse apporter nos gâteaux pour les cas de pluie et sans appart de secours (ou réserver un café qui nous ferai une formule pour l'après midi par personne je sais pas...)(on peut réserver des salles au Dernier Bar avant la Fin du Monde non ? )
Au final on était une dizaine d'anti-héros assis par terre sous une arcade pour un CLP avec pour la première fois concert en live et présence masculine !
Et si vous cherchez des idées pour le prochains thèmes il y a pas mal de quoi piocher aussi
Je commence donc le récap (oui je suis une jeune étudiante studieuse, que feriez vous sans moi ) par une dédicace à @Kyôka qui est venu avec son copain !
@Kyôka a donc lu une toute récente dystopie bien barrée, Prime Time de Jay Martel, premier roman de l'américain multifonctions (je laisse le lien Babelio par curiosité) qui raconte l'histoire d'un scénariste looser qui doit lever une conspiration à lui tout seul !
Son copain (que nous appellerons copain de Kyôka ) a lu 1984 de Georges Orwell qui est aussi une dystopie sur le contrôle de la population et du libre arbitre par la télésurveillance, Big Brother et la police de pensée...mais qu'il s'attendait à trouver plus sombre comme histoire, en parallèle avec Le Meilleur des Mondes d'Aldols Huxley bien que ça reste un texte très précurseur publié en 1949 !
@LilyEm est aussi parti dans l'absurde humoristique avec La Huitième couleur de feu-Terry Pratchett qui nous a quitté en mars dernier.
On y suit l'histoire d'un gros boulet Deuxfleurs et de Rincevent (le anti-héros) dans ce premier tome de la série des "Annales du Disque-Monde"
Elle aurait aussi pu nous parler de la saga Malaussène de Daniel Pennac avec Au Bonheur des Ogres (adapté en film ?)
@Slaw a lu en anglais Lolita de Vladimir Nabokov, avec plus de mal sur une deuxième partie dans un roman à la couverture trompeuse sur son contenu, gênant et complexe sur des thèmes comme la pédophilie, l'inceste écrit dans les années 1950, adapté par Kubrick en 1962 avec quelques changements
@AStarShinesBright a aussi fait dans la joyeuseté avec Le Parfum de Patrick Suskind et son personnage dont la vie s'appuie sur les odeurs et qui serviront son dessein de serial-killer
@elyhoult est parti dans la littérature jeune adulte avec Si loin de toi de Tess Sharpe, dont la premier et quatrième de couverture sont fort trompeuses et cachant une histoire bien plus sombre qu'elle n'y parait
@LunaeS n'a pas fini Le dernier stade de la soif de Frederick Exley auquel elle a du mal à s'accrocher aux personnages et ne s'attend plus à de grands retournements de situation. L'avenir nous le dira.
Lu quelques temps avant nous avons discuté de l'oeuvre de Bret Easton Ellis avec American Psycho ou encore Moins que zéro : âmes sensibles s'abstenir des longues descriptions.
@Beacakista s'est replongée dans sa jeunesse en relisant le premier tome d'Artemis Fowl de Eion nom irlandais chiant à prononcer Colfer, avec un personnage vraiment tête à claque, du moins sur les débuts quand on a plus son regard de pré-adolescente pour s'intéresser au héros qui n'en est pas un.
@Indignada a travaillé son espagnol ( ) avec le recueil de nouvelles Le Guide du loser amoureux de Junot Diaz où l'on suit différentes péripéties d'un infidèle chronique qui n'arrive pas à se sortir de sa situation.
Et moi @Camouille la grenouille (oui je me mentionne ) j'ai lu 2 romans (parce que je suis chiante) Orange Mécanique d'Antony Burgess écrit en 1962 et fidèlement adapté au cinéma par Kubrick en 1971, dystopie mais aussi roman d'anticipation sur les conséquences de la modification du libre arbitre sur un individu violent, Alex, meneur d'un des nombreux groupes de jeunes qui terrorisent la ville, tout en s'appuyant sur un jargon purement inventé par l'auteur et sur lequel il faut se concentrer pour les premières pages
Et Fight Club de Chuck Palahniuk écrit en 1996 et tout aussi fidèlement adapté par David Fincher en 99 avec le trio de choc Edward Norton/Brad Pitt/Helena Bonham Carter où l'on suit un insomniaque dépressif qui se retrouve au milieu de clubs de boxe clandestins...dystopie sur une philosophie "pré-apocalyptique" critiquant la société de consommation actuelle
@Camouille la grenouille Petit erratum: Deuxfleurs est un boulet mais le vrai anti-héros dedans c'est Rincevent en fait! Et oui Au bonheur des Ogres a été adapté il y a peu et le film est assez fidèle au livre mais si il manquait un petit truc propre au bouquin
@Camouille la grenouille Je connaissais pas cette vidéo-là de Natoo, ça m'a bien fait rire x) Et ça se rapproche un peu de ce qu'a pu faire Jay Martel dans son bouquin effectivement