C'est toujours les "grand.es acteurtrices (écrivains, réalisateurs...)" que ces gentes défendent au nom de la présomption d'innocence, du refus du "lynchage", et du souhait de séparer l'homme de l'artiste
oubliant au passage qu'il faut beaucoup de courage aux victimes pour parler et tenter de briser l'omerta,
et que cette prise de position est une forme de présomption de mensonge vis à vis des victimes.
C'est un peu facile, après l'indignation provoquée par cette tribune infame, de revenir sur sa signature en mode oin-oin j'avais pas réfléchi...
Sur ce, je vais vomir un peu...