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C'est quoi la règle des 42% pour prévenir le burn out ?
C'est quoi la règle des 42% pour prévenir le burn out ?
Commentaires sur C'est quoi la règle des 42% pour prévenir le burn out ?
- Initiateur de la discussion Christelle Murhula
- Date de début
Mais du coup, ça veut dire qu'on ne mange qu'une fois par jour ? 
@Moonshade
Je suppose que cela veut dire que les 2 autres repas peuvent être engloutis de façon expresse...
Mais bon, elles me font doucement sourire avec leur méthode.... Ces temps-ci, les études ont quand même l'art d'enfoncer des portes ouvertes
: entre le chercheur qui dit qu'on est plus heureux dans son couple si on fait des activités ensemble, elles qui préconisent de prendre du temps pour soi pour éviter un burn-out....
La prochaine étude : pour vous épanouir professionnellement, un chercheur a montré qu'il valait mieux prendre un travail qui vous passionne et qui est bien payé
Heureusement que tous ces gens sont là pour nous montrer la voie, on y aurait pas pensé toutes seules
Je suppose que cela veut dire que les 2 autres repas peuvent être engloutis de façon expresse...
Mais bon, elles me font doucement sourire avec leur méthode.... Ces temps-ci, les études ont quand même l'art d'enfoncer des portes ouvertes
: entre le chercheur qui dit qu'on est plus heureux dans son couple si on fait des activités ensemble, elles qui préconisent de prendre du temps pour soi pour éviter un burn-out....La prochaine étude : pour vous épanouir professionnellement, un chercheur a montré qu'il valait mieux prendre un travail qui vous passionne et qui est bien payé
Heureusement que tous ces gens sont là pour nous montrer la voie, on y aurait pas pensé toutes seules
8h de sommeil et que 2h pour soi incluant les repas, la douche etc ? C'est pas beaucoup quand même. Au grand minimum, 3 repas/jour =1h. , une douche/habillement = 15-30min... Ca laisse 30min pour lire un livre le soir ou regarder une série ou jouer à un jeu, mais tout le reste du temps on le consacre à des tâches ?
2h pour soi, je trouve ça très bien mais sans inclure les repas et les douches.
Je n'ai pas l'impression de prendre du temps pour moi quand je mange, je dors ou je me lave, ça fait juste partie des activités que je dois faire pour être en bonne santé.
Si on les écoute, ça ne fait que 30 minutes de loisir par jour, 1h30 pour se laver/manger, 8h de sommeil et les 14h restantes doivent alors être de l'activité productive ? Quel enfer...
Je n'ai pas l'impression de prendre du temps pour moi quand je mange, je dors ou je me lave, ça fait juste partie des activités que je dois faire pour être en bonne santé.
Si on les écoute, ça ne fait que 30 minutes de loisir par jour, 1h30 pour se laver/manger, 8h de sommeil et les 14h restantes doivent alors être de l'activité productive ? Quel enfer...
"ainsi que 30 dernières minutes pour effectuer une activité qui « fait du bien »"
Pour moi seules ces 30 minutes sont véritablement du "temps pour soi".
Même le sport :
- si on aime ça, 30 minutes c'est généralement insuffisant pour pratiquer la plupart des sports "plaisir", à moins d'être passionné par le HIIT.
- si on n'aime pas ça, 30 minutes de sport c'est vraiment pas du temps pour soi, ça peut même sembler pire que d'être au travail.
Pour moi seules ces 30 minutes sont véritablement du "temps pour soi".
Même le sport :
- si on aime ça, 30 minutes c'est généralement insuffisant pour pratiquer la plupart des sports "plaisir", à moins d'être passionné par le HIIT.
- si on n'aime pas ça, 30 minutes de sport c'est vraiment pas du temps pour soi, ça peut même sembler pire que d'être au travail.
Attends, ça veut dire que du coup tu consacre 12h de ton temps au boulot ?
Comment ça se passe, t'as plus de 4h de trajet par jour, ou tu bosses plus de 8h par jour ?
Lutter contre le burn out, pour moi, ça passe comme pour @Mary-Sue par faire exactement les 7h30 pour lesquelles je suis payée par jour, et pas une minute de plus. Si ça dérange, je suis pas feignasse, je suis stratège et pragmatique, et mon entreprise est radine.
Dormir, c'est pas du temps pour soi, c'est une nécessité. Les taches ménagères aussi. Le temps pour moi, c'est quand je regarde un film (qui me plait, pas pour penser à autre chose que mon taf) (parce que y a ça, aussi, comment on "prend du temps pour soi" quand le boulot est envahissant à ce point ?), lire un bouquin, pratiquer mes hobbies. Me ressourcer l'ame, un peu, et donner un sens à ma vie.
Et si je choisissais ce que je fais seulement 1/2h par jour, je sais pas si je serais en burn out, mais clairement en dépression, à questionner mes choix de vie, pour me retrouver avec si peu de controle sur ce que je fais de mon temps.
(sérieux, la journée type décrite, là, "1/2h pour déguster son repas", "30min de vie sociale", quel enfer... Ca me déprime rien que de penser qu'on puisse se fixer ça comme objectif sain.... Alors que j'ai choisi mon taf et que je l'aime !)
Et puis bon, un lien vers l'étude, peut être, au lieu de faire du copier-coller d'autres magazines ? Parce que je sais toujours pas en quoi elle consiste concrètement, cette solution miracle, à part trois conseils balancés à l'arrache et qui moi me dépriment profondément...
EDIT : et pardon, je boucle, hein, mais 1/2h de vie sociale par jour ? Pardon, mais quelles relations profondes tu entretiens, avec ça ? Je suis peut être fusionnelle avec mon époux, mais je passe plus d'une heure par jour à lui parler ! Je veux dire, si on regarde une émission ensemble, on va faire pause pour en parler, et ça nous prend le double de temps ! Pareil pour les hobbies, en 1/2h tu sors ton matos, c'est tout !
Comment ça se passe, t'as plus de 4h de trajet par jour, ou tu bosses plus de 8h par jour ?
Lutter contre le burn out, pour moi, ça passe comme pour @Mary-Sue par faire exactement les 7h30 pour lesquelles je suis payée par jour, et pas une minute de plus. Si ça dérange, je suis pas feignasse, je suis stratège et pragmatique, et mon entreprise est radine.
Dormir, c'est pas du temps pour soi, c'est une nécessité. Les taches ménagères aussi. Le temps pour moi, c'est quand je regarde un film (qui me plait, pas pour penser à autre chose que mon taf) (parce que y a ça, aussi, comment on "prend du temps pour soi" quand le boulot est envahissant à ce point ?), lire un bouquin, pratiquer mes hobbies. Me ressourcer l'ame, un peu, et donner un sens à ma vie.
Et si je choisissais ce que je fais seulement 1/2h par jour, je sais pas si je serais en burn out, mais clairement en dépression, à questionner mes choix de vie, pour me retrouver avec si peu de controle sur ce que je fais de mon temps.
(sérieux, la journée type décrite, là, "1/2h pour déguster son repas", "30min de vie sociale", quel enfer... Ca me déprime rien que de penser qu'on puisse se fixer ça comme objectif sain.... Alors que j'ai choisi mon taf et que je l'aime !)
Et puis bon, un lien vers l'étude, peut être, au lieu de faire du copier-coller d'autres magazines ? Parce que je sais toujours pas en quoi elle consiste concrètement, cette solution miracle, à part trois conseils balancés à l'arrache et qui moi me dépriment profondément...
EDIT : et pardon, je boucle, hein, mais 1/2h de vie sociale par jour ? Pardon, mais quelles relations profondes tu entretiens, avec ça ? Je suis peut être fusionnelle avec mon époux, mais je passe plus d'une heure par jour à lui parler ! Je veux dire, si on regarde une émission ensemble, on va faire pause pour en parler, et ça nous prend le double de temps ! Pareil pour les hobbies, en 1/2h tu sors ton matos, c'est tout !
Dernière édition :
Pas mieux que mes VDD, 30 minutes pour manger déjà hors de question... Il me faut une heure pour bien apprécier le moment du repas et autant de temps pour le préparer (+ laver/ranger) en général. 30 minutes de vie sociale ? Même mes Sims ont besoin de plus de temps 
C'est pas possible d'avoir un objectif aussi bas.
Bon après l'autrice vient des USA, donc culturellement niveau temps de travail c'est pas du tout la même qu'en France. Mais plutôt que donner ce genre d'objectifs il faudrait plutôt militer pour la semaine de 30h. Pour moi c'est à partir de là qu'on se sent vraiment bien, 6h/jour de travail sur 5 jours, ou 7h30 sur 4 jours. Au delà c'est difficile d'être à 100% et on a toujours des coups de fatigue.
C'est pas possible d'avoir un objectif aussi bas.Bon après l'autrice vient des USA, donc culturellement niveau temps de travail c'est pas du tout la même qu'en France. Mais plutôt que donner ce genre d'objectifs il faudrait plutôt militer pour la semaine de 30h. Pour moi c'est à partir de là qu'on se sent vraiment bien, 6h/jour de travail sur 5 jours, ou 7h30 sur 4 jours. Au delà c'est difficile d'être à 100% et on a toujours des coups de fatigue.
Clairement des conseils de merde de personnes n'ayant jamais fait de Burnout...
La vie bien être n'existe plus, même les temps off c'est dans le boulot, tout tourne autour du boulot.
Le sommeil de 8h? Le rêve mais impossible quand on travaille 35h sur le papier mais 40 à 50h sur le terrain.
Impossible de faire du sport (quand ? En sortant du boulot à 18h au plus tôt et 19h voire 20h, plus le temps de transport. Une fois rentrée ben faut prendre une douche, manger, préparer le repas pour le lendemain midi (car y'a pas de cantine à son taff) et on est épuisée, on a fait que bosser (car même à la pause méridienne de 1h, ça parle que boulot même quand on cherche à être tranquille.
Pas le temps de voir des amis, 1 ptit message par ci par la, mais la socialisation devient les réseaux sociaux où on se sent minable car on en peut plus et les autres ont l'air de réussir et d'aller bien.
Le we ben c'est les courses, le ménage et toujours le boulot en tête, pas de concentration sur la lecture et un jour le corps ne répond plus... A mes si on avait appliqué la règle des 42%... C'est notre faute c'est sûr...
La vie bien être n'existe plus, même les temps off c'est dans le boulot, tout tourne autour du boulot.
Le sommeil de 8h? Le rêve mais impossible quand on travaille 35h sur le papier mais 40 à 50h sur le terrain.
Impossible de faire du sport (quand ? En sortant du boulot à 18h au plus tôt et 19h voire 20h, plus le temps de transport. Une fois rentrée ben faut prendre une douche, manger, préparer le repas pour le lendemain midi (car y'a pas de cantine à son taff) et on est épuisée, on a fait que bosser (car même à la pause méridienne de 1h, ça parle que boulot même quand on cherche à être tranquille.
Pas le temps de voir des amis, 1 ptit message par ci par la, mais la socialisation devient les réseaux sociaux où on se sent minable car on en peut plus et les autres ont l'air de réussir et d'aller bien.
Le we ben c'est les courses, le ménage et toujours le boulot en tête, pas de concentration sur la lecture et un jour le corps ne répond plus... A mes si on avait appliqué la règle des 42%... C'est notre faute c'est sûr...
Je rejoins mes VDD.
Comme l'a bien dit @Esmé. , déjà, dormir ce n'est pas du "soin de soi" mais une nécessité biologique.
Leurs 30 minutes par-ci par-là c'est vite limitant (on ne fait grand-chose en 30 minutes) ou ne convenant pas à tout le monde.
Par exemple, je fais de l'accueil au public. J'ai zéro envie d''interaction sociale quand je rentre, toute ma batterie sociale est déjà passée dans les interactions avec les collègues et les usagers.
Faire du hiit ou de la course tous les jours n'est pas top non plus.
Si je sors mes marqueurs, le temps de m'immerger, les 30 minutes sont passées.
Sans compter qu'on n'a pas encore compté le temps du ménage, de la préparation des repas, des affaires pour le lendemain, de l'hygiène, des courses, des éventuels trajets/activités des enfants/parents, etc.
Enfin, et surtout, le burn-out prend majoritairement sa source dans le travail, dans les conditions, l'ambiance, les tâches, les exigences et tout ce qui tourne autour.
Oui, on peut mettre en place certains mécanismes pour diminuer l'impact, essayer de garder un minimum sa santé physique et mentale mais si vos conditions de travail sont propices au burn-out, vous n'y êtes pour rien.
Il faut quand même se rappeler que, collectivement, nous sommes arrivés à un stade où faire ses tâches et ses heures sans surinvestir et donner 120% de son temps et de sa personne est appelé "démission silencieuse" et je pense qu'il faudrait travailler là-dessus plutôt que de qualifier le fait de combler ses besoins biologiques de "soin de soi"
Comme l'a bien dit @Esmé. , déjà, dormir ce n'est pas du "soin de soi" mais une nécessité biologique.
Leurs 30 minutes par-ci par-là c'est vite limitant (on ne fait grand-chose en 30 minutes) ou ne convenant pas à tout le monde.
Par exemple, je fais de l'accueil au public. J'ai zéro envie d''interaction sociale quand je rentre, toute ma batterie sociale est déjà passée dans les interactions avec les collègues et les usagers.
Faire du hiit ou de la course tous les jours n'est pas top non plus.
Si je sors mes marqueurs, le temps de m'immerger, les 30 minutes sont passées.
Sans compter qu'on n'a pas encore compté le temps du ménage, de la préparation des repas, des affaires pour le lendemain, de l'hygiène, des courses, des éventuels trajets/activités des enfants/parents, etc.
Enfin, et surtout, le burn-out prend majoritairement sa source dans le travail, dans les conditions, l'ambiance, les tâches, les exigences et tout ce qui tourne autour.
Oui, on peut mettre en place certains mécanismes pour diminuer l'impact, essayer de garder un minimum sa santé physique et mentale mais si vos conditions de travail sont propices au burn-out, vous n'y êtes pour rien.
Il faut quand même se rappeler que, collectivement, nous sommes arrivés à un stade où faire ses tâches et ses heures sans surinvestir et donner 120% de son temps et de sa personne est appelé "démission silencieuse" et je pense qu'il faudrait travailler là-dessus plutôt que de qualifier le fait de combler ses besoins biologiques de "soin de soi"
Sans compter ma pause dej, j’ai environ 6 heures pour moi avant d’aller me coucher (je suis chez moi avant 17h30 et je vais me coucher vers 23h30), je travaille plus que les heures légales en France et je suis dans une grosse multinationale. Alors certes, j’ai pas trop de transports car je vis dans une petite ville, je suis pas un exemple niveau sommeil car j’ai du mal à faire mes 8 heures (mais je pars au boulot vers 8 heures donc en étant au lit avant minuit, je peux faire au moins 7h) et j’ai pas d’enfants, et je compte pas spécialement ma douche, le moment cuisine et repas comme des tâches car c’est pas désagréables, mais je comprends pas non plus cette règle magique, elle me paraît plutôt toxique, perso 
vu qu’on compte seulement 2 heures hors sommeil pour soi contre 6 pour moi : hesite: Une personne sans enfant avec plus de transport que moi et un meilleur sommeil devrait quand même avoir plus de 4h pour soi chaque soir, sans compter la pause déjeuner et le petit déjeuner.
J’imagine que ça s’adresse surtout à des personnes qui ont un rapport très endommagé vis à vis du travail, mais le burn out ne concerne pas qu’eux, et surtout on devrait promouvoir un mode de vie bien plus équilibré que ça je pense.
vu qu’on compte seulement 2 heures hors sommeil pour soi contre 6 pour moi : hesite: Une personne sans enfant avec plus de transport que moi et un meilleur sommeil devrait quand même avoir plus de 4h pour soi chaque soir, sans compter la pause déjeuner et le petit déjeuner.J’imagine que ça s’adresse surtout à des personnes qui ont un rapport très endommagé vis à vis du travail, mais le burn out ne concerne pas qu’eux, et surtout on devrait promouvoir un mode de vie bien plus équilibré que ça je pense.
Tiens, puisqu'on en parle, rien que ce soir. On vient de passer un long moment avec le Tavernier à discuter de comment je suis joignable ou pas, et de comment lui se sent par rapport à ça. Puis de la manière dont on s'était dit les choses, pour améliorer notre communication. Temps passé dans le social : 1h (et pas que du social "agréable", hein, discuter fonctionnement du couple, c'est demandant et parfois relou...).
Mais vraiment, ces injonctions sont hors sol. Et on parle pas de personnes avec des enfants, ou des personnes dépendantes !
Mais vraiment, ces injonctions sont hors sol. Et on parle pas de personnes avec des enfants, ou des personnes dépendantes !
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