@RainyMood Je n'ai absolument pas évoqué un quelconque devoir de ressentir de la peine pour une personne décédée ; d'abord parce qu'on ne peut que difficilement décider de ce qu'on ressent, ensuite parce que la mort d'une personne ne change rien à ce qu'elle a été. Je conçois même tout à fait que la mort de quelqu'un puisse procurer du soulagement voire de la joie.
J'ai très précisément parlé du fait de se réjouir
publiquement du décès de quelqu'un, ce dont – je pense – on peut faire l'économie. Je considère qu'en de telles circonstances on peut "s'empêcher". Je pense qu'il vaut mieux éviter de partager une passion triste et de prendre le risque de blesser des proches ; d'autant plus que ça n'a plus vraiment de sens ou d'utilité étant donné que la personne est décédée.