Sur la "maladie" imaginaire, mes parents s'étaient arrangés pour que l'idée ne me tente pas, en rendant ça pas très fun d'être "malade à la maison" (surtout s'ils soupçonnaient un mensonge) : pas de jeu ni d'écran parce que "non tu es malade, tu dois te reposer", de la soupe prévue le soir pour me réchauffer (alors que soyons honnête je préférais les pâtes croulant sous le fromage), la promesse de m'aider CONSCIENCIEUSEMENT à ratrapper le travail fait en classe le week-end suivant ou en tous cas dès que j'irai mieux, l'annulation de toute sortie (cinéma par ex.) pour ne pas fatiguer la malade, etc.
Si j'étais vraiment malade, ces dispositions ne changeaient pas grand chose, par contre elles dissuadaient plutôt de s'enfoncer dans le mensonge.
Si j'étais vraiment malade, ces dispositions ne changeaient pas grand chose, par contre elles dissuadaient plutôt de s'enfoncer dans le mensonge.