@lafeemandarine C'est possible, je pense qu'inversement les campagnes de harcèlement à l'échelle nationale dans les médias ou sur les réseaux sociaux doivent avoir un impact négatif très fort sur les performances d'athlètes trans. Je me rappelle très bien que pour Laurel Hubbard beaucoup de personnes opposées à sa participation aux JO répétaient qu'elle avait un avantage énorme, qu'elle avait volé la place d'une autre jeune fille bien plus méritante et qu'elle allait écraser toutes ses concurrentes injustement. Sauf que Laurel Hubbard n'a pas pu passer les qualifications et a été éliminé. C'était un moment de grande réjouissance pour tous ses critiques qui jubilaient et avaient l'air d'oublier que ça allait à l'encontre de leur théorie. J'ai toujours eu beaucoup d'inquiétude quand je voyais autant d'acharnement contre Laurel Hubbard et Lia Thomas qui ont vu toute leur vie étalée dans les médias, leur participation débattue sur tous les réseaux en plus d'être rejetées par d'autres athlètes ou par leur fédération. La question de la santé mentale des personnes trans est très souvent mise de côté.
J'ai l'impression qu'on prétend tous être dans un débat objectif sur des réalités scientifiques quand en réalité les nouvelles législations restrictives des fédérations cèdent en partie aux campagnes de harcèlement massives à l'échelle nationale. Cette politique de la FINA ne se base sur aucune étude scientifique (car encore une fois il n'y en a pas assez) mais est une réponse à la campagne massive contre Lia Thomas.
J'ai l'impression qu'on prétend tous être dans un débat objectif sur des réalités scientifiques quand en réalité les nouvelles législations restrictives des fédérations cèdent en partie aux campagnes de harcèlement massives à l'échelle nationale. Cette politique de la FINA ne se base sur aucune étude scientifique (car encore une fois il n'y en a pas assez) mais est une réponse à la campagne massive contre Lia Thomas.