harey;3361786 a dit :Des cailles en sarcophage ???
-Albertine-;3361930 a dit :Heureusement qu'elles sont là les cailles ! précieux indice je crois!
Haha, en fait comme je suis végétarienne, je ne connaissais absolument pas ça, et en faisant une recherche, j'ai trouvé ça fou. Ça ne m'était jamais venu à l'esprit qu'on puisse faire des plats aussi recherchés...BonnieButler;3362059 a dit :Elles sont trop cool les cailles
harey;3363034 a dit :C'est un livre où ça parle beaucoup de nourriture ?
J'allais le dire ! Je ne savais même pas que c'était un livre à la base... C'est le film préféré de tous les temps de ma mère !harey;3363510 a dit :Haaaa, Karen Blixen ? Le festin de Babette ? (J'avais adoré Out of Africa)
Oh merciharey;3365453 a dit :Haha, je ne l'ai jamais eu mais une fois une copine m'en a fait l'apologie, et c'est ensuite que j'ai réalisé que c'était le même auteur !
Je laisse à @Oxymare le soin de donner le prochain extrait !
Oui, Max, oui j'écris ton histoire. Et celle des tiens. Des miens désormais. Parce que tu m'as dit sans rancoeurs ni haines le terrible des petites vies de rien, et de leurs théâtres intimes, que les mots sont de la chair, qu'il suffit de les écouter battre, bien au ras des émotions simples, et qu'ainsi tu m'as fait comprendre le métier d'écrire. Parce que avec du vif, sincère, sans fard, sans frime, ta vie dans tes paumes ouvertes, tu m'as dit aussi l'humanité nue. Pas l'idéale, celles des religions et des philosophies, ni la créature politique, mais celle qui a mal aux dents, qui essaie d'aimer à grande douleur et immenses espoirs, malgré son gros nez, malgré la maladie, les préjugés, malgré les gloires savoureuses et les bravos, la ballottée d'histoire, l'oubliée des guerres et des destinées jolies, la minuscule, celle qui trahit et tue, et celle qui a peur, l'innocente et l'héroïque ordinaire, celle qui veut enfermer l'univers dans son poing fermé et ne peut y tenir un papillon. Tu n'es plus Max, tu as rejoint Luz et Amparo, et Gérard Philippe, quelque part dans le grand néant. Mais je sais désormais le mal délicieux de Chimène des bas-fonds, de Rodrigue des beaux quartiers, et que l'histoire de nous autres, hommes de peu, n'est que le malentendu d'un baiser attendu et jamais réclamé.
Oh, j'aais pas vu l'extrait !LillyDarma;3384201 a dit :Oh, il n'y a plus personne par ici ?
Dommage, j'aurais bien voulu jouer... Mais ce texte ne me rappelle rien.
J'dirais un auteur français/francophone à cause des références à Gérard Philippe et au Cid. Contemporain sans doute. Une histoire liée au théâtre pour les références et ça sonne un peu comme une grande tirade du narrateur qui s'adresserait à un des personnages au tout début du récit... Voilà tout ce que j'arrive à en tirer...