Voilà, ce topic aurais pu avoir sa place dans beaucoup d'autres zones du forum, veille féministe, mais aussi le topic Paris etc…
Du coup je mets en général, j'espère qu'on me dira si c'est déplacé :
Depuis quelques temps une idée me trotte dans la tête de façon insistante.
Les discussions autour de la condition de la femme (pas seulement le féminisme d'ailleurs, mais également du moins de vue des ONG, social etc…) sont souvent, ce n'est que mon avis, trop ethnocentrée. On parle de la femme française, de la femme américaine, de la femme asiat ou africaine comme si entre la diplômée ricane face à son plafond de verre et la violée/déportée africaine il y avait une différence telle qu'aucun dialogue ne serait possible.
Je me demande si, c'est une idée assez audacieuse pour quelqu'un comme moi qui ne "pez" dans rien, aucun organisme ni rien, il ne serait pas possible de lier nos bonnes volontés pour :
-Crée une association à but non lucratif
-Organiser des débats en faisant venir des intervenants spécialisés des cas étrangers voir étrangers carrément.
-Communiquer ces débats via les réseaux sociaux.
Il s'agirait de choisir des thématiques transnationale évidement comme "le travail" "la liberté sexuelle" etc…
Je suis sure que les facs de paris (pour ma part paris I) serait volontaire, si on leur propose un projet sérieux, pour nous proposer des locaux. Pour ma part j'ai quelques contacts dans le monde des ong et universitaire mais rien de suffisamment précis pour me lancer seule.
Donc si vous avez des idées, si ça existe déjà et que je ne suis juste pas au courant, si vous trouvez ça nul, si ça vous botte, je suis ouverte à tout !
Je précise qu'il s'agirait, si suffisamment de monde répond à l'hameçon (je me laisse jusqu'à début février soit après mes partiels pour voir comment ça se passe) d'un projet sérieux, de long terme, construit, et non pas d'une simple déclaration de bonne volonté qui deviendra lettre morte en trois mois, ça demandera donc un minimum d'engagement.
A titre d'idée comme il s'agit d'un projet demandant un peu de taff si on pouvait en faire 2 par an ce serait déjà génial.
Je précise également que la question n'est pas ici de traiter des "gender studies" qui sont un domaine propre des sciences sociales mais bel et bien de la condition actuelle, physique si j'ose dire, de la femme dans le monde. (Et donc pas de la "féminité"). "
Du coup je mets en général, j'espère qu'on me dira si c'est déplacé :
Depuis quelques temps une idée me trotte dans la tête de façon insistante.
Les discussions autour de la condition de la femme (pas seulement le féminisme d'ailleurs, mais également du moins de vue des ONG, social etc…) sont souvent, ce n'est que mon avis, trop ethnocentrée. On parle de la femme française, de la femme américaine, de la femme asiat ou africaine comme si entre la diplômée ricane face à son plafond de verre et la violée/déportée africaine il y avait une différence telle qu'aucun dialogue ne serait possible.
Je me demande si, c'est une idée assez audacieuse pour quelqu'un comme moi qui ne "pez" dans rien, aucun organisme ni rien, il ne serait pas possible de lier nos bonnes volontés pour :
-Crée une association à but non lucratif
-Organiser des débats en faisant venir des intervenants spécialisés des cas étrangers voir étrangers carrément.
-Communiquer ces débats via les réseaux sociaux.
Il s'agirait de choisir des thématiques transnationale évidement comme "le travail" "la liberté sexuelle" etc…
Je suis sure que les facs de paris (pour ma part paris I) serait volontaire, si on leur propose un projet sérieux, pour nous proposer des locaux. Pour ma part j'ai quelques contacts dans le monde des ong et universitaire mais rien de suffisamment précis pour me lancer seule.
Donc si vous avez des idées, si ça existe déjà et que je ne suis juste pas au courant, si vous trouvez ça nul, si ça vous botte, je suis ouverte à tout !
Je précise qu'il s'agirait, si suffisamment de monde répond à l'hameçon (je me laisse jusqu'à début février soit après mes partiels pour voir comment ça se passe) d'un projet sérieux, de long terme, construit, et non pas d'une simple déclaration de bonne volonté qui deviendra lettre morte en trois mois, ça demandera donc un minimum d'engagement.
A titre d'idée comme il s'agit d'un projet demandant un peu de taff si on pouvait en faire 2 par an ce serait déjà génial.
Je précise également que la question n'est pas ici de traiter des "gender studies" qui sont un domaine propre des sciences sociales mais bel et bien de la condition actuelle, physique si j'ose dire, de la femme dans le monde. (Et donc pas de la "féminité"). "
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