Bon alors moi je vais y aller de mon témoignage perso. Depuis le collège j'ai toujours eu des cours d'éducation sexuelle, au moins 2 au collège puis une au lycée + distribution de préservatifs et panneaux d'affichage le 1er décembre. Bon après comme l'a dit Miracilious ça dépend peut être des régions et des académies. Je viens de Strasbourg et le professeur Nisand se mobilise beaucoup pour ça. Par exemple le site info ado est génial. On peut poser des questions en ligne et des professionnels répondent dans les 24h. Un centre info ado existe également en plus du planning familial et les consultations sont gratuites.
Lorsque j'étais au lycée, j'ai demandé à ma mère si je pouvais prendre la pillule. Elle m'a pris un rdv chez la gynéco. Nous n'avons jamais eu trop de problème à parler des règles ect même si on en parle d'un point de vue strictement médical.
J'ai une petite soeur qui est actuellement en seconde. on a 4 ans de différence et j'ai l'impression que le fossé entre ce qu'elle est (ou plutot ses copines) et ce que j'étais moi au même âge est énorme. Une de ses copines a déjà fait une fausse couche, deux autres ont couché plusieurs fois avec leur copain sans aucune protection en prenant la pillule du lendemain comme si c'était une solution permanente (voir rien du tout). Ma soeur n'a eu aucun cours d'éduc sexuelle. Alors on peut dire qu'en 4 ans la politique de prévention et d'éducation a clairement moins d'empleur qu'avant. Mes copines et moi au lycée, on prenait toutes la pillule si on en avait besoin, on avait toutes notre stock de capotes et idem pour les garçons. Je penche plutot du côté de ce que dit Miracilious comme quoi c'est juste de la connerie. Les copines à ma soeur dont je parle et que je connais quand même un peu ont des parents qui sont plutôt ouverts donc je ne pense pas que le problème vienne de là.
Après le problème est surement différent dans les milieux ruraux, dans les familles à l'éducation plus stricte, ect... C'est pour ça que je pense que le fait de passer par le collège ou le lycée pour informer est primordial. J'aime bien l'idée de passer par des jeunes de 20 25 ans, pas forcément des professionnels, pour parler aux ados. On est plus proche d'eux et des questionnements qu'ils peuvent avoir.
Tout est une question de moyen de toute façon. Et ce n'est pas en coupant les subventions des associations qu'on va s'en sortir.
Lorsque j'étais au lycée, j'ai demandé à ma mère si je pouvais prendre la pillule. Elle m'a pris un rdv chez la gynéco. Nous n'avons jamais eu trop de problème à parler des règles ect même si on en parle d'un point de vue strictement médical.
J'ai une petite soeur qui est actuellement en seconde. on a 4 ans de différence et j'ai l'impression que le fossé entre ce qu'elle est (ou plutot ses copines) et ce que j'étais moi au même âge est énorme. Une de ses copines a déjà fait une fausse couche, deux autres ont couché plusieurs fois avec leur copain sans aucune protection en prenant la pillule du lendemain comme si c'était une solution permanente (voir rien du tout). Ma soeur n'a eu aucun cours d'éduc sexuelle. Alors on peut dire qu'en 4 ans la politique de prévention et d'éducation a clairement moins d'empleur qu'avant. Mes copines et moi au lycée, on prenait toutes la pillule si on en avait besoin, on avait toutes notre stock de capotes et idem pour les garçons. Je penche plutot du côté de ce que dit Miracilious comme quoi c'est juste de la connerie. Les copines à ma soeur dont je parle et que je connais quand même un peu ont des parents qui sont plutôt ouverts donc je ne pense pas que le problème vienne de là.
Après le problème est surement différent dans les milieux ruraux, dans les familles à l'éducation plus stricte, ect... C'est pour ça que je pense que le fait de passer par le collège ou le lycée pour informer est primordial. J'aime bien l'idée de passer par des jeunes de 20 25 ans, pas forcément des professionnels, pour parler aux ados. On est plus proche d'eux et des questionnements qu'ils peuvent avoir.
Tout est une question de moyen de toute façon. Et ce n'est pas en coupant les subventions des associations qu'on va s'en sortir.