Thème : sur le banc
Durant des heures et des heures elle contemple sa vie, assise sur ce banc, en haut d'une colline de ses pensées.
Elle cherche à fuir le silence, et sans jamais trop pouvoir s'en éloigner elle s'invente un nouveau monde où le bruit serait roi, où elle ne serai jamais seule et où ce banc n'existerai pas.
Elle regarde défiler les journées d'été, ce sont toutes les mêmes et de là où elle est elle comprend pourquoi tant de gens sont découragés devant cette vie répétitive et sans fin.
Les planches de bois sur le dossier du banc lui rentre violamment dans le dos mais elle ne change pas de position, elle se met toujours à la même place pour avoir toujours la même vue. Elle rassemble des souvenirs heureux et les transforment en réalité, dans le monde qu'elle s'invente tout le monde est joyeux et la tristesse n'y a pas sa place.
Le silence qui l'entour devient pesant, ces longs moments à attendre sur le banc le sont aussi. Il n'y a peut-être aucune chance pour que je sois un jour vraiment heureuse, se dit-elle, peut-être que je devrais passer le restant de ma vie sur ce banc à regarder filer le temps.
Dans le monde qu'elle s'invente le temps serai infinie, le bonheur aussi.
Elle aimerait tant laisser derrière elle ce banc rempli de souvenirs douloureux, mais c'est comme si elle y était enchaîner. Alors tous les jours elle y retourne, pour contempler sa vie, pour regarder passer les journées d'été et pour s'inventer un monde où tout serait parfait.
Durant des heures et des heures elle contemple sa vie, assise sur ce banc, en haut d'une colline de ses pensées.
Elle cherche à fuir le silence, et sans jamais trop pouvoir s'en éloigner elle s'invente un nouveau monde où le bruit serait roi, où elle ne serai jamais seule et où ce banc n'existerai pas.
Elle regarde défiler les journées d'été, ce sont toutes les mêmes et de là où elle est elle comprend pourquoi tant de gens sont découragés devant cette vie répétitive et sans fin.
Les planches de bois sur le dossier du banc lui rentre violamment dans le dos mais elle ne change pas de position, elle se met toujours à la même place pour avoir toujours la même vue. Elle rassemble des souvenirs heureux et les transforment en réalité, dans le monde qu'elle s'invente tout le monde est joyeux et la tristesse n'y a pas sa place.
Le silence qui l'entour devient pesant, ces longs moments à attendre sur le banc le sont aussi. Il n'y a peut-être aucune chance pour que je sois un jour vraiment heureuse, se dit-elle, peut-être que je devrais passer le restant de ma vie sur ce banc à regarder filer le temps.
Dans le monde qu'elle s'invente le temps serai infinie, le bonheur aussi.
Elle aimerait tant laisser derrière elle ce banc rempli de souvenirs douloureux, mais c'est comme si elle y était enchaîner. Alors tous les jours elle y retourne, pour contempler sa vie, pour regarder passer les journées d'été et pour s'inventer un monde où tout serait parfait.