Le dernier film que vous avez vu à la maison

[dodoindo]

on avait démarré Nausicaa mais on 'est endormis tous les deux, et ni l'un ni l'autre n'a suggéré de le terminer ^^
on a revu Matrix: J'aime vraiment beaucoup. Je l'avais déjà vu évidemment qq fois mais c'est un plaisir à revoir sauf

Spoiler: spoiler

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[Katastroph]

L'étrange histoire de Benjamin Button : c'était pas mauvais mais le film aurait gagné en rythme s'il avait une demi heure en moins. Néanmoins, pour avoir lu le livre (qui est assez court de mémoire), je salue le travail pour l'adapter.

Cafe society : oubliable. L'histoire ne décolle jamais réellement - c'est plat - et bien que les personnages soient sympathiques, ils ne suffisent pas à rendre l'intrigue intéressante.

120 battements par minute : je recommande vivement ! Les acteurs, la réalisation, et l'intrigue sont mis en valeur les uns par les autres. Il y a une énergie propre au film malgré des thématiques dures propre au sujet qu'il aborde (le sida et ce qui en découle).

 

[Sego23]

J'ai regardé dernièrement sur Netflix :
- How it ends : un film post-ap en mode road trip assez divertissant, et le film porte vraiment bien son nom parce que la fin...

- Le silence de la ville blanche : un polar italien assez sympa, je pense qu'il aurait gagné en qualité s'il avait été plus creusé et si certaines révélations avaient été gardées pour plus tard.

- Mesrine : avec Vincent Cassel, que dire? Excellent !

 

[Borealle]

Hier soir on a regardé Dragons : The Hidden World , un bon film feel good, léger qui fait du bien, une bonne surprise sachant qu'en général le troisème d'une trilogie de dessins animés est rarement le meilleur

 

[Léona B.]

J'ai vu Ernest et Célestine, un film d'animation qui est sur Netflix et c'était une merveille

 

[Sego23]

J'ai regardé Brimstone, vraiment magnifique j'ai adoré !

 

[Sylvestrum]

je viens de voir Ben-Hur, nouvelle version. Bon alors c'est pas une pure daube, hein, mais je comprends pas l'intérêt de prendre un grand film, et de le transformer en film moyen...
Ils ont enlevé une grosse dose de subtilité, rajouté quelques panneaux "VOICI TEL PERSO HISTORIQUE pour ceux qui avaient besoin qu'on explique", et, le coup de grâce

Spoiler: la fin

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+ rajouté un acteur ultra connu dans un rôle qu'il a déjà fait 50 fois, et passé à la trappe l'intensité dramatique

 

[what the water gave me.]

Her, de Spike Jonze, que je n'avais toujours pas vu parce que je ne le trouvais pas en VO !
Bilan : les couleurs, toutes douces. La tristesse, toute douce. Puis ce cast ???? J'ai adoré.

 

[Borealle]

On a regardé Burn after reading des frères Cohen hier, c'était vraiment wtf, très déjanté j'ai bien aimé

 

[Rosenrot_]

La très bonne découverte du weekend, c'est Extase, un film tchécoslovaque de 1933. C'est censé être le premier film (non pornographique) à représenter l'orgasme féminin à l'écran. De façon certes très chaste par rapport à notre époque contemporaine, mais tout de même ! Je le recommande non seulement pour son thème très moderne, mais aussi parce que je le trouve visuellement très réussi et que peu de films de la même époque sont capables de m'épater et de m'émouvoir comme celui-ci.
Dispo ici.

 

[Sego23]

J'ai maté Forgotten, un film coréen sur netflix ! C'était pas mal du tout, le genre de film qui te retourne le cerveau et où t'es mode "c'est pas vrai !!!" à chaque révélation!

 

[KittyKiller]

Dernièrement j'ai regardé :
- Les musiciens de Gion de Mizoguchi, que j'avais déjà vu deux fois, comme d'habitude c'est beau, c'est dur, mais pour une fois ça se finit presque bien
- La captive de Chantal Akerman, une relecture très libre de La prisonnière, qui ne m'a pas complètement emballée même si j'ai trouvé ça intelligemment réussi sur le plan technique (photo, cadrage, utilisation de la musique), mais le jeu vraiment ça ne passe pas (surtout Stanislas Mehrar), alors bon ça contribue peut-être à l'impression d'irréalité, d'intemporalité, mais dans ce cas ça pourrait être encore plus éthéré, enfin.
- Vagues '98 d'Ely Dagher, un court métrage animé autour d'un souvenir onirique d'un avatar de l'auteur dans le Beyrouth d'après-guerre. Je crois que le mec a fait ça tout seul sans réelle formation, et il met bien la technique au service de l'émotion. Pas mal.
- The Grand Bizarre de Jodie Mack, alors je n'avais pas compris je m'attendais à un documentaire sur le tissu et bon, autant dire que ça porte bien son nom, jeu de mots compris. L'alternance des différents procédés (stop motion, time lapse, dessin) et la synchronisation avec la bande son industrielle donnent un résultat graphique, rythmique (à déconseiller aux épiléptiques), surprenant, dans un univers original, mais qui m'a vite lassée (j'aurais bien vu un court-métrage )
- Tropical Malady d'Apitchapong Weerasethakul, je crois que j'ai préféré Oncle Boonmee mais c'est déjà un très beau film, disons que la rupture entre la première partie, immersive, et la seconde, contemplative, est brutale et finalement ça lui donne une force, ça les éclaire mutuellement. Et les éléments mythologiques / allégoriques tirés du Bouddhisme sont déjà au premier plan, pour une impression de réalité qui se détache de son ancrage temporel et s'ouvre à la parabole.