Dernière modification par un modérateur :
Mon principal regret ? Avoir donné ce père-là à mon fils
- Initiateur de la discussion Une madmoiZelle
- Date de début
Certains éléments de ce témoignage me font de la peine car ils font écho à ce que j'ai pu vivre. Mon père a voulu tenir bon, rester avec ma mère alors que la situation était difficile à vivre pour lui. Il a tenu jusqu'à mes 15 ans, moi je savais depuis mes 10 ans qu'il aurait été mieux qu'ils divorcent.
Les parents veulent souvent prendre la meilleure décision possible pour que leur enfant soit heureux, mais je pense que faire passer son bonheur après même si ça signifie assumer une charge mentale monstre, ce n'est pas une bonne chose pour un enfant. Le père de ce témoignage, je le vois comme un "oncle", une personne qui veut les bons côtés d'avoir un enfant (s'amuser) sans avoir à assumer le reste.
Les parents veulent souvent prendre la meilleure décision possible pour que leur enfant soit heureux, mais je pense que faire passer son bonheur après même si ça signifie assumer une charge mentale monstre, ce n'est pas une bonne chose pour un enfant. Le père de ce témoignage, je le vois comme un "oncle", une personne qui veut les bons côtés d'avoir un enfant (s'amuser) sans avoir à assumer le reste.
La Mad de ce témoignage a l’air de savoir que c’est un connard au fond, qu’il l’a traite comme de la merde. Dans la liste du top 10 des ‘’red flags’’ dans une relation, d’apres ce témoignage j’ai coché 8/10 des cases. Mais elle essaie quand même de lui donner des excuses. Et donc maintenant, qu’est ce qu’elle compte faire ? Laisser son fils se faire éduquer par un connard qui va peut être plus tard reproduire la même chose, ou grandir en regardant sa mère être misérable ?
Peut être qu’à 2ans il voulait avoir 2 parents, mais en grandissant il verra sûrement que c’est mieux que d’en avoir un + un connard.
Peut être qu’à 2ans il voulait avoir 2 parents, mais en grandissant il verra sûrement que c’est mieux que d’en avoir un + un connard.
Mon témoignage personnel:
Mes parents sont restés ensemble pendant 27 ans. Ma mère était très amoureuse de lui, mais était malgré tout extrêmement malheureuse. Il lui en a fait voir de toutes les couleurs. À la maison, il ne faisait RIEN. Il couchait avec la terre entière, sauf avec sa femme qui était pourtant en demande. Il était démissionnaire vis-à-vis de notre éducation. Il était rigide. Souvent absent pour des déplacements professionnels. Même quand il était là, il n'était pas vraiment là. Il s'enfermait dans son bureau ou errait dans la maison comme un fantôme, ne nous adressant jamais la parole, n'écoutant rien de ce que ma mère pouvait bien lui raconter. Il était odieux avec ma grande sœur, que ma mère avait eue d'une précédente union. Quand ma mère essayait de le confronter, il usait de gaslighting ou alors il laissait couler: aucune discussion possible.
Bref, elle est restée 27 putains d'années. Pour nous. Alors, je sais qu'elle était animée des meilleures intentions du monde, mais à mes yeux c'était vraiment un mauvais choix. J'aurais préféré qu'elle parte. Tu es ta meilleure version parentale quand tu es heureux, certainement pas quand tu vis avec quelqu'un qui te vampirise. Mon avis, qui ne concerne que moi, est que faire passer son bonheur avant celui de l'enfant, c'est lui assurer plus de bonheur par la suite, et un avenir plus heureux. Un parent au top du bonheur est un meilleur parent (de mon point de vue)!
Mes parents sont restés ensemble pendant 27 ans. Ma mère était très amoureuse de lui, mais était malgré tout extrêmement malheureuse. Il lui en a fait voir de toutes les couleurs. À la maison, il ne faisait RIEN. Il couchait avec la terre entière, sauf avec sa femme qui était pourtant en demande. Il était démissionnaire vis-à-vis de notre éducation. Il était rigide. Souvent absent pour des déplacements professionnels. Même quand il était là, il n'était pas vraiment là. Il s'enfermait dans son bureau ou errait dans la maison comme un fantôme, ne nous adressant jamais la parole, n'écoutant rien de ce que ma mère pouvait bien lui raconter. Il était odieux avec ma grande sœur, que ma mère avait eue d'une précédente union. Quand ma mère essayait de le confronter, il usait de gaslighting ou alors il laissait couler: aucune discussion possible.
Bref, elle est restée 27 putains d'années. Pour nous. Alors, je sais qu'elle était animée des meilleures intentions du monde, mais à mes yeux c'était vraiment un mauvais choix. J'aurais préféré qu'elle parte. Tu es ta meilleure version parentale quand tu es heureux, certainement pas quand tu vis avec quelqu'un qui te vampirise. Mon avis, qui ne concerne que moi, est que faire passer son bonheur avant celui de l'enfant, c'est lui assurer plus de bonheur par la suite, et un avenir plus heureux. Un parent au top du bonheur est un meilleur parent (de mon point de vue)!
"Et puis il y d'autres raisons que je tais. Le fait que je n'aurai pas la force d'être seule à nouveau pour élever un enfant de plus"
Pardon mais c'est la raison numéro une à lui balancer dans la gueule.
Sinon méga signe qu'il faut arrêter les frais et le quitter: même dans les bons moments, tu es sur tes gardes à redouter le moment où il va gâcher ça... Aucun couple n'est parfait. Il y a toujours des moments pourris dans la vie d'un couple mais en arriver à ne pas pouvoir profiter pleinement des bons moments car tu sais qu'il va finir par les gâcher, c'est anormal et signe que votre relation n'est pas équilibrée. Et ce n'est pas un environnement sain pour élever un enfant. Peu importe ce que ton enfant a dit à deux ans. Un enfant a besoin d'un environnement sécurisant et rassurant, pas de grandir en redoutant le moment où papa va tout gâcher...
Pardon mais c'est la raison numéro une à lui balancer dans la gueule.
Sinon méga signe qu'il faut arrêter les frais et le quitter: même dans les bons moments, tu es sur tes gardes à redouter le moment où il va gâcher ça... Aucun couple n'est parfait. Il y a toujours des moments pourris dans la vie d'un couple mais en arriver à ne pas pouvoir profiter pleinement des bons moments car tu sais qu'il va finir par les gâcher, c'est anormal et signe que votre relation n'est pas équilibrée. Et ce n'est pas un environnement sain pour élever un enfant. Peu importe ce que ton enfant a dit à deux ans. Un enfant a besoin d'un environnement sécurisant et rassurant, pas de grandir en redoutant le moment où papa va tout gâcher...
J'aime pas faire la morale aux gens, surtout si ce sont des inconnus, mais là seule la séparation est possible. Je vois pas comment on peut être heureuse dans une relation comme celle ci, même pour l'enfant. Là pour l'instant ce sont des mots et des remarques, mais imaginez plus tard ce sont les coups qui commencent à pleuvoir et/ou qu'il commence à s'en prendre au fils qui pourrait prendre modèle sur lui. Et puis même sans ça, une mère a besoin d'être heureuse et de penser à elle aussi.
Je me rappelle de cet article.
Ce qui m'interroge c'est le titre, au-delà du fait d'avoir ce père pour son fils, c'est surtout elle qui est sa compagne non ?
Après peut-être qu'il a été publié dans la section parentalité mais...il me semble que la façon dont il se comporte, en dehors même de l'enfant, c'est "red flag".
Ce qui m'interroge c'est le titre, au-delà du fait d'avoir ce père pour son fils, c'est surtout elle qui est sa compagne non ?
Après peut-être qu'il a été publié dans la section parentalité mais...il me semble que la façon dont il se comporte, en dehors même de l'enfant, c'est "red flag".
M
Membre supprimé 332225
Guest
Cet article a été publié il y a deux ans, et nous avions été nombreuses à envoyer à l'autrice du témoignage des messages de soutien et d'encouragements à s'écouter elle-même et à partir.
Je ne comprends pas que rien n'ait bougé depuis, même si évidemment un enfant est une raison légitime de rester. Je pense à ce petit bout... Un divorce peut être un déchirement pour lui, bien sûr, mais les Madz qui ont répondu ont raison : et s'il devient lui-même un homme toxique plus tard, en raison du modèle parental ? et si le père devient encore plus violent psychiquement, voire physiquement ?
On ne vit qu'une fois... Pourquoi gâcher sa vie à rester avec quelqu'un qui ne nous rend pas heureux.se et ne nous aime pas ?
Je ne comprends pas que rien n'ait bougé depuis, même si évidemment un enfant est une raison légitime de rester. Je pense à ce petit bout... Un divorce peut être un déchirement pour lui, bien sûr, mais les Madz qui ont répondu ont raison : et s'il devient lui-même un homme toxique plus tard, en raison du modèle parental ? et si le père devient encore plus violent psychiquement, voire physiquement ?
On ne vit qu'une fois... Pourquoi gâcher sa vie à rester avec quelqu'un qui ne nous rend pas heureux.se et ne nous aime pas ?
Je trouve les commentaires très justes mais aussi très durs. Pour être jeune maman et ayant vécu des déceptions monumentales pendant cette période (se sentir lâchée à des moments de fatigue extrême et devoir tenir seule..) je partage une partie du ressentie de la madz qui a écrit cet article. Mais ce qui est dit au début est vrai : c malheureusement très banal. Non ça ne veut pas dire qu'il faut forcément rester mais ça veut surtout dire que l'éducation, les modèles, la pression sociale les injonctions implicites et explicites, le poids de la charge mentale et de la culpabilité ancrée chez les femmes depuis si longtemps font que non ce n'est pas simple de se dire "eho red flag cmt tu peux encore être avec lui?".
La preuve l'article commence par "je ne suis pas une femme battue". Cela signifie que de base cette violence qu'elle a subit et que bcp ont subit, n'est pas admise comme une violence assez forte pour pouvoir être considérée comme victime et légitime à partir.
Si c'était le cas bcp d'hommes changeraient vite car la pression changerait de camps.
La preuve l'article commence par "je ne suis pas une femme battue". Cela signifie que de base cette violence qu'elle a subit et que bcp ont subit, n'est pas admise comme une violence assez forte pour pouvoir être considérée comme victime et légitime à partir.
Si c'était le cas bcp d'hommes changeraient vite car la pression changerait de camps.
Je ne suis pas sur qu’apporter du soutien peu vraiment aider. Elle trouve visiblement quelque chose dans sa vie qui lui permet d’endurer ça depuis des années, et ça c’est problématique. On a pas à endurer, c’est bon de craquer, s’énerver, remettre les choses en place. Ce n’est pas être hystérique, gamine, c’est savoir ce qu’on veut et se battre pour, être déterminée. Si on subit en cherchant soutien ailleurs, on est totalement dans l’assujettissement dans la relation. Ce n’est pas à nous autour, qui n’avons rien à voir avec cette relation, de faire le boulot de soutien et de compréhension que lui aurait dû mettre dans la relation. Si une relation de couple n’est pas assez nourri par ses participants ce n’est pas aux autres d’y mettre des tuteurs.
Je me permet tout de même ici d’apporter une légère lecture féministe et un retour sur le rapport à l’enfant. Parce que c’est dur de pas donner son grain de sel face à tant de souffrance, d’autant plus avec un enfant dans la balance
Alors pour avoir vécu une dynamique vaguement similaire avec mon premier copain.. une fois qu’on en ait séparé surtout, en prenant du recul, on peut se rendre compte que pour l’autre, son « couple idéal » est en fait une construction hautement patriarcal. Dans son exemple il trouve visiblement tout à fait basique et même indiscutable, que la mère gère la totalité de la charge parentale, avec le sourire en prime.. Dans mon cas mon copain trouvé tout à fait malvenu que je puisse avoir des opportunités et des réussites professionnelles plus intéressantes que les siennes.. Il s’attendait au contraire à ce que je sois en capacité de sacrifier ma carrière pour lui dès que la situation l’exigerais. Il ne l’a jamais formulé ouvertement, mais avec le recul c’était criant. Et ces représentations patriarcales ils en ont même pas forcément pleinement conscience, c’est juste inscrit fortement dans leur imaginaire. C’est leur désir profond. Comme nous on peut avoir des désirs à long terme qui sont pas totalement formulés mais qui éclosent avec le temps. Du coup ils nous préviennent pas de ses attentes dingues, mais ca fini par poper le moment venu, comme à la naissance d’un enfant, ou dans mon cas lors d’un échec pro de son côté et d’une réussite du mien.. Le truc c’est que si on colle pas à cet idéal qu’ils recherchent au fond, comme être la mère ou la copine sacrificielle, ben au lieu de réaliser que leur idéal est bidon, et s’ouvrir petit à petit au féminisme, ils estiment que c’est nous qui sommes bidon ^^ Les « gamines ». Et partant de là y a rien de sauvable en fait. Ils font passer leur désir de préserver leur modèle patriarcal chéri au dessus de préserver la relation. C’est pas personnellement ce que je qualifierais d’amour. Du coup perso j’ai fini par me barrer et c’est la meilleure chose que j’ai faite pour nous deux.
Et alors pour la scène décrite avec le petit dans la voiture.. Elle était au bout du rouleau alors le petit s’inquiétait pour elle, c’est normal. A cet âge si les enfants voient un membre de la famille pleurer ils pleurent avec. Ils résonnent à fond. Les enfants peuvent très bien vivre une séparation parentale, si justement on ne leur présente pas comme un échec, une douleur émotionnelle, un abandon, mais comme un moyen pour toute la famille d’aller de l’avant. C’est hyper important pour un enfant de pouvoir être témoin de relations authentiques, diverses, horizontales, vivantes. Pour le petit comme pour les parents en fait, ce qui peut permettre l’acceptation sereine de cette éventuelle séparation c’est de comprendre que c’est une séparation pour le bien de tous. L’enfant n’est pas le décideur ici, on ne peut pas lui faire porter ce poids qu’on arrive pas à porter soi-même. Ça seule place est d’être écouté, rassuré, de recevoir les explications et l’amour qui lui permette de suivre le mouvement parental. De toute façon avant les 7-8 ans l’enfant n’a pas atteint l’âge de raison, alors se fier à son avis c’est comme décider aux dès ^^’ En plus évidemment l’enfant se forge dans ce qu’il connaît, alors il a tendance à aller vers des choix « conservateurs » on va dire.. Ce qui est logique puisqu’il n’a encore aucune idée de ce qui peut exister d’autre que ce qu’il connaît déjà. Les dès sont pipés x)
Voilà, j’espère que j’ai rien dit de trop con ou agressif C’est pas du tout l’intention. Dans tout les cas bon courage à toutes pour gérer ce genre de relations auxquelles on est bien trop souvent confrontés.
Je me permet tout de même ici d’apporter une légère lecture féministe et un retour sur le rapport à l’enfant. Parce que c’est dur de pas donner son grain de sel face à tant de souffrance, d’autant plus avec un enfant dans la balance
Alors pour avoir vécu une dynamique vaguement similaire avec mon premier copain.. une fois qu’on en ait séparé surtout, en prenant du recul, on peut se rendre compte que pour l’autre, son « couple idéal » est en fait une construction hautement patriarcal. Dans son exemple il trouve visiblement tout à fait basique et même indiscutable, que la mère gère la totalité de la charge parentale, avec le sourire en prime.. Dans mon cas mon copain trouvé tout à fait malvenu que je puisse avoir des opportunités et des réussites professionnelles plus intéressantes que les siennes.. Il s’attendait au contraire à ce que je sois en capacité de sacrifier ma carrière pour lui dès que la situation l’exigerais. Il ne l’a jamais formulé ouvertement, mais avec le recul c’était criant. Et ces représentations patriarcales ils en ont même pas forcément pleinement conscience, c’est juste inscrit fortement dans leur imaginaire. C’est leur désir profond. Comme nous on peut avoir des désirs à long terme qui sont pas totalement formulés mais qui éclosent avec le temps. Du coup ils nous préviennent pas de ses attentes dingues, mais ca fini par poper le moment venu, comme à la naissance d’un enfant, ou dans mon cas lors d’un échec pro de son côté et d’une réussite du mien.. Le truc c’est que si on colle pas à cet idéal qu’ils recherchent au fond, comme être la mère ou la copine sacrificielle, ben au lieu de réaliser que leur idéal est bidon, et s’ouvrir petit à petit au féminisme, ils estiment que c’est nous qui sommes bidon ^^ Les « gamines ». Et partant de là y a rien de sauvable en fait. Ils font passer leur désir de préserver leur modèle patriarcal chéri au dessus de préserver la relation. C’est pas personnellement ce que je qualifierais d’amour. Du coup perso j’ai fini par me barrer et c’est la meilleure chose que j’ai faite pour nous deux.
Et alors pour la scène décrite avec le petit dans la voiture.. Elle était au bout du rouleau alors le petit s’inquiétait pour elle, c’est normal. A cet âge si les enfants voient un membre de la famille pleurer ils pleurent avec. Ils résonnent à fond. Les enfants peuvent très bien vivre une séparation parentale, si justement on ne leur présente pas comme un échec, une douleur émotionnelle, un abandon, mais comme un moyen pour toute la famille d’aller de l’avant. C’est hyper important pour un enfant de pouvoir être témoin de relations authentiques, diverses, horizontales, vivantes. Pour le petit comme pour les parents en fait, ce qui peut permettre l’acceptation sereine de cette éventuelle séparation c’est de comprendre que c’est une séparation pour le bien de tous. L’enfant n’est pas le décideur ici, on ne peut pas lui faire porter ce poids qu’on arrive pas à porter soi-même. Ça seule place est d’être écouté, rassuré, de recevoir les explications et l’amour qui lui permette de suivre le mouvement parental. De toute façon avant les 7-8 ans l’enfant n’a pas atteint l’âge de raison, alors se fier à son avis c’est comme décider aux dès ^^’ En plus évidemment l’enfant se forge dans ce qu’il connaît, alors il a tendance à aller vers des choix « conservateurs » on va dire.. Ce qui est logique puisqu’il n’a encore aucune idée de ce qui peut exister d’autre que ce qu’il connaît déjà. Les dès sont pipés x)
Voilà, j’espère que j’ai rien dit de trop con ou agressif C’est pas du tout l’intention. Dans tout les cas bon courage à toutes pour gérer ce genre de relations auxquelles on est bien trop souvent confrontés.
Ça tord le bide ce témoignage... Je crois que c'est quelqu'un du forum qui avait mis un lien vers un texte de Mark Manson, "Love is not enough" une fois (c'est sur les relations toxiques et le fait qu'on reste parce que "quand même, il y a des bons moments, et puis je l'aime").
Ce qui me fait mal en lisant son témoignage c'est qu'elle se sente obligée de "défendre" son conjoint ou en tout cas leur relation. Le mec est indéfendable et la relation qu'elle décrit est toxique, point barre. Après, à partir de là, qu'elle choisisse de rester pour une raison X ou Y, ça c'est ce qu'elle pense être le mieux (ou le moins pire) pour elle, on n'a pas à lui dire comment réagir ou qu'elle a tord et elle explique très bien les raisons qui la font rester. Mais ça me rend triste pour elle qu'elle se sente obligée de justifier, entre les lignes, l'attitude de son conjoint et donc indirectement de minimiser son propre ressenti et sa souffrance tout à fait légitime. Tout mon soutien, ça ne doit pas être facile
Ce qui me fait mal en lisant son témoignage c'est qu'elle se sente obligée de "défendre" son conjoint ou en tout cas leur relation. Le mec est indéfendable et la relation qu'elle décrit est toxique, point barre. Après, à partir de là, qu'elle choisisse de rester pour une raison X ou Y, ça c'est ce qu'elle pense être le mieux (ou le moins pire) pour elle, on n'a pas à lui dire comment réagir ou qu'elle a tord et elle explique très bien les raisons qui la font rester. Mais ça me rend triste pour elle qu'elle se sente obligée de justifier, entre les lignes, l'attitude de son conjoint et donc indirectement de minimiser son propre ressenti et sa souffrance tout à fait légitime. Tout mon soutien, ça ne doit pas être facile
Le témoignage est effectivement dur à lire et je m'interroge sur la décision de madmoizelle de republier ce genre de témoignage sans aucune actualisation ni prise de distance. On ne sait pas si depuis plus d'un an la temoignante a réussi à quitter ce mec toxique ni même si elle est au courant que son témoignage a été republié ? Et d'habitude j'apprécie beaucoup les encarts dans les témoignages par des psy ou autres spécialistes... Là il n'y en a aucun et vu le contenu c'est vraiment dommage.
J'espère pour elle en tout cas que depuis elle a pu sortir de cette relation toxique ou qu'elle est en train de le faire... Visiblement elle avait déjà une certaine prise de conscience et de bons réflexes : voir un psy, en parler, partir en vacances sans lui... Dans ce genre de situation le processus est souvent long pour s'autoriser à faire cesser une relation toxique et être heureuse à nouveau. Si elle nous lit je lui souhaite courage et le meilleur
J'espère pour elle en tout cas que depuis elle a pu sortir de cette relation toxique ou qu'elle est en train de le faire... Visiblement elle avait déjà une certaine prise de conscience et de bons réflexes : voir un psy, en parler, partir en vacances sans lui... Dans ce genre de situation le processus est souvent long pour s'autoriser à faire cesser une relation toxique et être heureuse à nouveau. Si elle nous lit je lui souhaite courage et le meilleur
Discussions similaires
