Dimanche midi sur Canal +, Nicolas Bedos a raconté ses deux nuits passées en cellule de dégrisement dans un commissariat parisien. Un cauchemar peuplé de "flics odieux qui, vraiment, ont le QI d'un poulpe mort pour la plupart". Raillant l'esprit de "consensus", l'humoriste-qui-monte-qui-monte a enfoncé le clou, affirmant que "le flic de la nuit, le patrouilleur, est un abruti, c'est un voyou en uniforme, c'est une racaille tombée du bon côté" (la vidéo est ici).
Les deux principaux syndicats de police ne trouvent pas ça drôle du tout. Le premier, Unité police SGP-FO déclare qu'il se "réserve le droit de donner toutes les suites judiciaires possibles à ce comportement délictuel d'incitation à la haine". Le second, Alliance "en appelle au ministre de l'Intérieur" afin qu'il engage une "procédure judiciaire" contre Nicolas Bedos.
Sur ce coup là, Bedos junior me fait penser à une sorte de Zemmour de gauche...
Questions : faut-il porter l'affaire en justice ? Plus généralement, quel est votre degré de confiance dans notre police ? Vous rassure-t-elle ? Vous inquiète-t-elle parfois ? Pourquoi ?
Les deux principaux syndicats de police ne trouvent pas ça drôle du tout. Le premier, Unité police SGP-FO déclare qu'il se "réserve le droit de donner toutes les suites judiciaires possibles à ce comportement délictuel d'incitation à la haine". Le second, Alliance "en appelle au ministre de l'Intérieur" afin qu'il engage une "procédure judiciaire" contre Nicolas Bedos.
Sur ce coup là, Bedos junior me fait penser à une sorte de Zemmour de gauche...
Questions : faut-il porter l'affaire en justice ? Plus généralement, quel est votre degré de confiance dans notre police ? Vous rassure-t-elle ? Vous inquiète-t-elle parfois ? Pourquoi ?