Un ami m'a demandé de répondre à un e-mail. Cet e-mail a été écrit par un ami à lui qui a apparemment des difficultés à dissocier femme et stupidité.. Faites vous plaisir dans les réponses, je transférerai le résultat.
DE MON IMCOMPATIBILITE A LA FEMINITE
Fruit de mon analyse, après rétrospections et raisonnements: je suis pris dans une forme de schizophrénie sexuelle de la dépendance (quasi pathologique du fait de la manifestation d'une libido au-dessus de la moyenne) et de la misogynie psycho-sociologique de ma personnalité.
Pour simplifier: j'aime TROP baiser les filles, mais je n'arrive PAS à les supporter en dehors des enculades.
Raison: la réduction psychologique de la sensibilité féminine.
De par sa tructuration psychologique intrinsèque, l'esprit féminin se meut à l'intérieur d'une seule catégorie mentale qui constitue à la fois sa sensibilité et son entendement: le tout affectif.
D'où une tendance fâcheuse (pour la pensée) à appréhender les phénomènes humains selon leurs seules déterminations affectives et psychologiques, et à ne pas comprendre, faute d'en identifier les causes sociétales, les phénomènes politiques et leurs spécificités.
Réduction psychologique qui s'avère parfaitement fonctionnelle dans le jeu social prédéterminé de la femme (séduction-amour-maternité-famille).
Réduction psychologique qui s'avère par contre inexacte et inappropriée (dysfonctionnelle) quand elle tend à réduire la marche du monde aux seuls échanges affectifs et psychologico-organiques entre individus.
Lorsque ce psychologisme se targue ainsi d'expliquer ou de débattre d'un phénomène collectif (thématiques sociales et politiques) par des causes individuelles (humeurs personnelles) il chute alors vertigineusement de la compétence relative en compréhension humaine au contresens et à la stupidité.
D'où la réduction ad chaussurum plus confortable intellectuellement: "Heeeen, c'est tes nouvelles chaussures j'adooore."
Une vision globale et cohérente des différentes actions humaines (ce que nous appelons la pensée) est donc problématique pour la femelle. D'où l'absence historique de grands penseurs féminins.
De par sa structuration, l'esprit féminin se montre le plus souvent incapable d'une vision globale cohérente, faute de pouvoir replacer ses analyses psychologiques partielles dans leur juste perspective sociale.
J'irais plus loin. Non seulement la femme n'est pas disposée à la pensée productive, ce qui est un fait, mais plus grave en est la conséquence: son amoralité.
Ma théorie est que la femme n'est pas capable, de par sa structuration mentale, de morale et donc de politique: la politique étant la prise de parti et une résonnance du caractère moral.
Impossibilité logique de la femelle d'accéder à la morale et à la politique, son idée du bien se limitant à l'amour instinctif de sa propre famille et proches (enfants, conjoint, amis) et ne peut accéder à l'idée du bien universel, qui lui exige l'élévation de l'affectivité à la raison.
Elévation qui permet de passer outre la préférence affective et le rapport de séduction-charme pour se fonder sur l'analyse du mérite.
Accéder à une vision politique (découlant de la morale, c'est à dire d'un certain système de valeur objectif, quelle que soit son orientation) exige donc qu'on soit capable d'abolir la préférence affective pour que la loi devienne la même pour tous, et que l'amour ou l'affectif puisse s'élever au Bien.
Sa conscience du monde est moins étendue et ne lui permet pas d'accéder à une éthique politique. La capacité critique féminine est ainsi toujours limitée dans la praxis politique.
D'où sa plus grande attirance pour la pensée "magique", psycho de comptoir, superstition et idéalisation naïve.
J'en conclus raisonnablement que la femelle est profondément inapte à cette activité sérieuse et exigente qu'est la Pensée (imaginer le Penseur de Rodin en statue de femme: non crédible).
OU au minimum je dirais qu'en vertu de ce qu'elle est par son corps et son esprit, le chemin de la femme vers la Pensée est encore plus escarpé que celui de l'homme, et que comme les hommes qui pensent et agissent (comme moi) son déjà une infime minorité, il est logique que cette minorité, plus réduite encore chez les femmes, tende carrément vers zéro.
D'où, à mon tour, puisque je ne peux faire la Révolution avec elles, une réduction ad puterum de la femelle: "Viens là que je te gag la face."