A
AnonymousUser
Guest
Pardon, c'est encore un titre racoleur. Je ne le ferai plus.
Comment dire.
Est-ce que vous éprouvez le besoin d'avoir des principes, de vous y tenir ?
Est-ce que vous vivez complètement dans une optique de plaisir, ou est-ce que justement vous éprouvez le besoin, ou l'envie, de réfréner des envies, de changer un peu, de mettre plus de "morale" - dit comme ça, ça sonne désuet- dans ce que vous faites, êtes ?
On dirait que la societé aujourd'hui est très libre, qu'il y a peu de tabous ; vous pouvez le contester mais en tout cas, il y a une chose indéniable, il y a beaucoup moins de tabous qu'il y a cinquante ans par exemple. Est-ce que vous avez l'impression, comme j'ai pu l'entendre dans des discussions avec des amis, que "la morale se perd", que désormais tout semble autorisé ? Est-ce que justement vous trouvez qu'on ne pense plus qu'à profiter de tout sans chercher autre chose, ou est-ce que vous trouvez au contraire qu'il y a encore une certaine rigidité morale, une certaine droiture dans tout ... ?
A propos de l'ascétisme, bon, n'y prêtez pas une énorme intention. C'était pour attirer la foule ici ; c'était aussi en pensant à par exemple toutes ces fois où n (je.) se retient d'acheter cinquante rouges à lèvres parce qu'on regrette d'être aussi futile, qu'on se voudrait parfois plus raisonnable et moins matérialiste ...
Je ne suis pas très claire ; ne vous sentez pas obligées de suivre ces questions comme je les pose, car je les ai posé de façon très maladroite je crois.
Comment dire.
Est-ce que vous éprouvez le besoin d'avoir des principes, de vous y tenir ?
Est-ce que vous vivez complètement dans une optique de plaisir, ou est-ce que justement vous éprouvez le besoin, ou l'envie, de réfréner des envies, de changer un peu, de mettre plus de "morale" - dit comme ça, ça sonne désuet- dans ce que vous faites, êtes ?
On dirait que la societé aujourd'hui est très libre, qu'il y a peu de tabous ; vous pouvez le contester mais en tout cas, il y a une chose indéniable, il y a beaucoup moins de tabous qu'il y a cinquante ans par exemple. Est-ce que vous avez l'impression, comme j'ai pu l'entendre dans des discussions avec des amis, que "la morale se perd", que désormais tout semble autorisé ? Est-ce que justement vous trouvez qu'on ne pense plus qu'à profiter de tout sans chercher autre chose, ou est-ce que vous trouvez au contraire qu'il y a encore une certaine rigidité morale, une certaine droiture dans tout ... ?
A propos de l'ascétisme, bon, n'y prêtez pas une énorme intention. C'était pour attirer la foule ici ; c'était aussi en pensant à par exemple toutes ces fois où n (je.) se retient d'acheter cinquante rouges à lèvres parce qu'on regrette d'être aussi futile, qu'on se voudrait parfois plus raisonnable et moins matérialiste ...
Je ne suis pas très claire ; ne vous sentez pas obligées de suivre ces questions comme je les pose, car je les ai posé de façon très maladroite je crois.