Bon je me suis un peu emballée alors je remets mon sujet au bon endroit. Youhou je suis la première le présenter
Le Contexte (pardonnez le copier-coller )
Parmi les nombreux champignons susceptibles d’infecter les épis de maïs, les espèces appartenant au genre Fusarium sont particulièrement préoccupantes pour la filière maïsicole. La fusariose est en effet susceptible d’induire des pertes de rendement considérables et est fréquemment associée à une contamination des épis par des mycotoxines. Le déoxynivalenol ou DON, mycotoxine appartenant à la famille des trichothécènes B, majoritairement produit par Fusarium graminearum, est la mycotoxine la plus fréquemment rencontrée sur les maïs français. La sélection génétique représente une stratégie très prometteuse pour espérer pouvoir garantir des niveaux minimaux de contamination des récoltes par le DON, compatibles avec la réglementation européenne. Les mécanismes de résistance du maïs à Fusarium et à sa production de toxines ne sont jusqu’à présent pas élucidés. Cette résistance est complexe et explique certainement qu’à l’heure actuelle aucun marqueur génétique ou biochimique n’a été validé et motive fortement l’utilisation d’approches globales pour l’appréhender => c'est là que j'interviens !
Le sujet à proprement parler :
identifier des métabolites des grains ou une composition en métabolites, présents dans les génotypes les plus résistants à la fusariose, et capables d’interférer avec la croissance fongique et la toxinogénèse.
Voilà voilà ! Après je ne peux pas discuter des résultats parce-que ma thèse est confidentielle
Le Contexte (pardonnez le copier-coller )
Parmi les nombreux champignons susceptibles d’infecter les épis de maïs, les espèces appartenant au genre Fusarium sont particulièrement préoccupantes pour la filière maïsicole. La fusariose est en effet susceptible d’induire des pertes de rendement considérables et est fréquemment associée à une contamination des épis par des mycotoxines. Le déoxynivalenol ou DON, mycotoxine appartenant à la famille des trichothécènes B, majoritairement produit par Fusarium graminearum, est la mycotoxine la plus fréquemment rencontrée sur les maïs français. La sélection génétique représente une stratégie très prometteuse pour espérer pouvoir garantir des niveaux minimaux de contamination des récoltes par le DON, compatibles avec la réglementation européenne. Les mécanismes de résistance du maïs à Fusarium et à sa production de toxines ne sont jusqu’à présent pas élucidés. Cette résistance est complexe et explique certainement qu’à l’heure actuelle aucun marqueur génétique ou biochimique n’a été validé et motive fortement l’utilisation d’approches globales pour l’appréhender => c'est là que j'interviens !
Le sujet à proprement parler :
identifier des métabolites des grains ou une composition en métabolites, présents dans les génotypes les plus résistants à la fusariose, et capables d’interférer avec la croissance fongique et la toxinogénèse.
- la recherche de métabolites impliqués dans la résistance (métabolites constitutifs et induits lors de l’infection sur grains en développement) par une approche métabolomique ( LC-MS et RMN ) comparative entre génotypes identifiés comme sensibles et résistants (j'en ai 20), et l’étude de différents stades de remplissage des grains (précoces et matures) ==> ça fait beaucoup beaucoup d'échantillons à traiter (240 ), broyer sécher et tout le bordel qui va avec, et je fais la même chose sur 2 années différentes
- la validation de l’effet de ces métabolites sur le développement et la toxinogénèse de différentes souches de F. graminearum in vitro (encore faudrait-il que je trouve un marqueur...)
Voilà voilà ! Après je ne peux pas discuter des résultats parce-que ma thèse est confidentielle
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