Haha, j'ai plusieurs hontes, dont pas mal que j'ai oubliées...
La honte de collège : En troisième je crois, une amie s'amusait à me pousser alors qu'on sortait nos vélos du garage à vélos (on faisait le même chemin à vélo pour rentrer). A un moment y'en a marre, je la pousse hyper fort et la elle tombe avec son vélo sur un pauvre 6ème. J'étais morte de honte d'être la méchante troisième alors que je faisais que me défendre ! Et j'ai passé la fin de la scolarité à être persuadée que j'allais me faire virer car j'avais martyrisé un sixième. Aussi, le classique : glissage dans une grosse flaque de boue.
La honte acnéique : Un mec pas me fixe depuis un bon moment et moi ado de 14 ans je suis super flattée ! Puis je me rends compte qu'en fait, c'est parce que j'avais un énorme bouton éclaté sur le front.
La honte répétée de pas grand chose : Je me renverse presque toujours du café sur moi. On peut limite me suivre comme le petit Poucet avec les flaques de cafés. Notamment y'en a une qui est restée une semaine dans le couloir de ma fac. C'est un grand running gag pour mes potes.
Honte de l'humour noir involontaire : Comme un autre témoignage, c'est une honte rapport à un suicide. Je reçois une amie chez moi dont le mec s'était suicidé récemment. Je ne sais plus exactement, mais je dis un truc à la con ou débile et du coup par réflexe (si ça se trouve une gaffe sur le suicide en plus) je dis "Je vais me jeter par la fenêtre, haha" (sous entendu je vais me faire Hara Kiri de honte). Et c'est là que je me rappelle que son mec s'était défenestré. Heureusement ça l'a plutôt fait rire.