Je sors du cinéma et je viens apporter ma pierre !
Je ne peux pas faire une critique aussi construite que @Tilly. mais on est d'accord.
Le début du film est drôle, dans la ville plastique de Barbie. Tout est beau et rose, puis on a une ou deux phrases "prise de conscience" pour rappeler que dans le monde réel les femmes n'ont pas le pouvoir.
Puis Barbie et Ken débarquent dans le monde réel, on rigole un peu.
Et à partir de là, ça part dans tous les sens. On a bien compris la dichotomie monde de Barbie et monde réel, ou les rôles sont inversés. Mais quel est le message ?
En fait, j'ai eu l'impression de regarder une pub de deux heures pour Mattel. On a deux-trois parties d'autodérision, mais sinon, les Barbie ont le beau rôle. D'ailleurs les filles qui n'aiment pas Barbie ont tout faux, ce sont juste des ados immatures qui sont dans l'opposition systématique.
Barbie devient réelle : elle doit avoir, quoi, 3 cm2 de cellulite ! Par contre, pas un poil, étrange non ? Bref, aucune prise de risque. Les dialogues sonnent faux. On a l'impression d'être dans le manuel du parfait film woke (enfin woke... Mais pas trop). C'est pétri de clichés dont seulement 10% sont débunkés. On garde le cliché du meilleur ami gay (qui est aussi stupide et ne sert à rien) et de la meilleure amie grosse (qui ne fait pas non plus avancer l'intrigue).
Bref, ça sera un film vite oublié pour ma part. Je regrette l'ironie et le cynisme complet qui consiste à "dénoncer" la société de consommation dans une pub déguisée pour une société de l'hyper-consumérisme.
Je ne peux pas faire une critique aussi construite que @Tilly. mais on est d'accord.
Le début du film est drôle, dans la ville plastique de Barbie. Tout est beau et rose, puis on a une ou deux phrases "prise de conscience" pour rappeler que dans le monde réel les femmes n'ont pas le pouvoir.
Puis Barbie et Ken débarquent dans le monde réel, on rigole un peu.
Et à partir de là, ça part dans tous les sens. On a bien compris la dichotomie monde de Barbie et monde réel, ou les rôles sont inversés. Mais quel est le message ?
En fait, j'ai eu l'impression de regarder une pub de deux heures pour Mattel. On a deux-trois parties d'autodérision, mais sinon, les Barbie ont le beau rôle. D'ailleurs les filles qui n'aiment pas Barbie ont tout faux, ce sont juste des ados immatures qui sont dans l'opposition systématique.
Barbie devient réelle : elle doit avoir, quoi, 3 cm2 de cellulite ! Par contre, pas un poil, étrange non ? Bref, aucune prise de risque. Les dialogues sonnent faux. On a l'impression d'être dans le manuel du parfait film woke (enfin woke... Mais pas trop). C'est pétri de clichés dont seulement 10% sont débunkés. On garde le cliché du meilleur ami gay (qui est aussi stupide et ne sert à rien) et de la meilleure amie grosse (qui ne fait pas non plus avancer l'intrigue).
Bref, ça sera un film vite oublié pour ma part. Je regrette l'ironie et le cynisme complet qui consiste à "dénoncer" la société de consommation dans une pub déguisée pour une société de l'hyper-consumérisme.