@Destiel Mok´ tant mieux pour vous. Quand ma mère était malade, je l'ai veillée (j'ai bientôt 40 ans) et elle ferait la même pour moi.
Quand on est au fond du lit avec impossibilité de faire quoique ce soit, qqn de présent chez soi au cas où ça ne fait pas de mal.
Le mensonge c'est ne pas dire la vérité, ici ne pas vouloir à une soirée familiale pour Noël. Dire "je suis malade" au lieu de dire la vérité c'est puéril.
Toute vérité n'est pas bonne à dire mais pourquoi mentir ?
Exemple bête : je demande l'avis d'un proche sur mon pull et il me répond "ton pull, il ne te va pas"+ explication du pourquoi, ce n'est pas pour blesser. Alors que si la personne dit "il te va super bien" alors que la couleur rend notre teint blafard, montre que les bourrelets et remonte tout le temps, ça s'est être blessant.
Tout mensonge ressurgit car la vérité ressort toujours (les gaffes, les "j'osais pas te le dire"...) ça ne permet pas de grandir le mensonge. Et dire la vérité (quand on nous pose une question) ce n'est pas être blessant quand c'est courtois.
Elle veut être seule pour la soirée ? Qu'elle le dise point. C'est compliqué oui mais ne jamais osé dire non ce n'est pas viable.
Si ces enfants lui mentent que va t elle ressentir ? (on voit le mal que ca fait de mentir... Cacher le harcèlement, cacher les mauvaises notes, cacher qu'on fume, qu'on a perdu notre emploi...et cacher qu'on veut pour cette soirée on pense à soi au lieu de se forcer à faire une soirée)
Je ne comprend pas ceux qui mentent et ommettent. Ça fait du mal et des dégâts quand la vérité est dite ou découverte mais trop tard, la confiance se perd et une blessure se créait.