Cette histoire me touche beaucoup. Je ne peux qu'imaginer le désarroi, le sentiment de trahison, l'incompréhension que semble vivre cette Madz... Je suis vraiment désolée. D'autant que ce cercle amical paraît avoir été une très grande partie de sa vie durant cette année. C'est très violent.
Les groupes d'ami.e.s qui fonctionnent bien ensemble, qui sont sains et qui font en sorte que chacun.e s'y sente bien et s'y épanouisse, franchement, c'est une joie incroyable. Mais les groupes ont aussi tendance à exacerber certaines attitudes bien moins jouasses... La médisance, la simplification... Je vois bien comment ça peut se monter en épingle à déblatérer/exagérer les travers d'une personne, qui devient, de fil en aiguille, le bouc-émissaire du groupe. Ce qui est une stratégie bien vilaine, mais, il faut le dire, efficace à court-terme pour souder ledit groupe.
Peut-être aussi que la Madz, et je dis ça en toute bienveillance, a eu des comportements qui ont pu heurter ses ami.e.s et que le manque de communication et/ou refus plus ou moins conscients d'entendre ces choses ont amené à cette situation de merde.
Ce que je trouve d'autant plus complexe, c'est que c'est tout un groupe. Et, en ce qui me concerne, je vis des amitiés, en groupe, que j'aime très fort et qui me rendent heureuse. Mais j'ai dû mal à me dire que je relationne avec un "groupe" ; le groupe est constitué de plein de relations inter-individuelles qui sont à nourrir. A mon avis, s'il y a un désir d'éclaircir les choses, c'est avec les individus qu'elle veut vraiment garder dans sa vie, et seule à seul.e. Sans doute cette unique personne qui a daigné répondre à son message. Pour essayer de comprendre ce qui s'est passé, même si ça risque d'être un moment plutôt pénible. Et il ne s'agit pas de monter au pilori et de laisser les autres déverser leur bile sans retenue alors qu'ielles n'ont pas eu le courage de s'exprimer auparavant. Juste se parler d'égale à égal.e de ce qui ne va pas.
Les groupes d'ami.e.s qui fonctionnent bien ensemble, qui sont sains et qui font en sorte que chacun.e s'y sente bien et s'y épanouisse, franchement, c'est une joie incroyable. Mais les groupes ont aussi tendance à exacerber certaines attitudes bien moins jouasses... La médisance, la simplification... Je vois bien comment ça peut se monter en épingle à déblatérer/exagérer les travers d'une personne, qui devient, de fil en aiguille, le bouc-émissaire du groupe. Ce qui est une stratégie bien vilaine, mais, il faut le dire, efficace à court-terme pour souder ledit groupe.
Peut-être aussi que la Madz, et je dis ça en toute bienveillance, a eu des comportements qui ont pu heurter ses ami.e.s et que le manque de communication et/ou refus plus ou moins conscients d'entendre ces choses ont amené à cette situation de merde.
Ce que je trouve d'autant plus complexe, c'est que c'est tout un groupe. Et, en ce qui me concerne, je vis des amitiés, en groupe, que j'aime très fort et qui me rendent heureuse. Mais j'ai dû mal à me dire que je relationne avec un "groupe" ; le groupe est constitué de plein de relations inter-individuelles qui sont à nourrir. A mon avis, s'il y a un désir d'éclaircir les choses, c'est avec les individus qu'elle veut vraiment garder dans sa vie, et seule à seul.e. Sans doute cette unique personne qui a daigné répondre à son message. Pour essayer de comprendre ce qui s'est passé, même si ça risque d'être un moment plutôt pénible. Et il ne s'agit pas de monter au pilori et de laisser les autres déverser leur bile sans retenue alors qu'ielles n'ont pas eu le courage de s'exprimer auparavant. Juste se parler d'égale à égal.e de ce qui ne va pas.