@Ariel du Pays Imaginaire selon le point de vue c'était des émeutes ou des révoltes.
Parler de "principalement blanches" pour servir votre discours sans rentrer dans les détails c'est un peu trop facile...
La fin des années 60 et début 70,ce n'était pas que mai 68 à Paris, ce n'était pas que les étudiants "blancs"...
C'était de partout dans le monde un soulèvement du peuple, qu'importe la couleur de peau.
Cela veut dire également que les racailles qui ont brûlé des écoles des mediatheques, des voitures, des magasins, des bus... Étaient tous non blancs ? Raccourci facile car ils étaient pour la plupart avec une capuche ou une cagoule.dans les quartiers il y a des toutes les couleurs... Dans le quartier sensible où j'habite il y a des blancs, des noirs, des maghrébins, des non françaises (c'est à dire non né en France) qui viennent des pays de l'est principalement. Les seuls qu'il n'y a pas, ce sont des asiatiques.
Dans le quartier où je bosse (dans une association pour être précise), c'est exactement la même chose. Et tout autour du local, ça a flambé et on sait qui a participé pour une partie.
Ah et plus de mediatheque et des familles ont perdu des papiers importants car mairie, boîte aux lettres complètement flambé.
Pendant qq jours, impossible de se déplacer sans voiture (enfin pour ceux en ayant encore une...) car plus de transport en commun, ils ont tout cramé du transport au abris bus et la route...
Et là ce n'était pas une révolte pour des revendications, par rapport à des conditions de vie c est prendre un prétexte pour faire le bordel et littéralement foutre le feu, partout...
En bref, ce débat est stérile.