Je trouve assez étrange la manière dont d'un côté on (d'une manière générale les réseaux plutôt à gauche) invoque la sacro sainte culture pour de l'appropriation culturelles des occidentaux envers d'autres peuple et de l'autre on la minimise quand il s'agit de porter nos belles valeurs de l'humanisme et de l'épanouissement individuel à l'occidental. Le droit à la souveraineté culturelle c'est valable que pour la déco et les dreads, la manière de penser et régir l'individu et la société ça doit refléter le socle de valeurs occidental ? Vraie question. On respecte la culture et la souverainté dans son intégralité ou on fait du découpage en fonction de ce qui nous dérange ?
Bien sûr que je trouve que nos ambitions d'épanouissement individuel et de tolérance envers les minorités c'est mieux que le contraire. Et je souhaite vivement que les peuples évoluent vers plus de libertés et d'épanouissement, fusse-il individuel, collectif et minorités incluse. Mais bon quels sont nos droits en dehors de nos propres frontières ? A partir de quand on fait de l'ingérence et en est ce vraiment quand les minorités dont on appelle la reconnaissance existent dans tous les pays du monde ? Elles existent et luttent déjà de fait alors pourquoi ne pas les soutenir ? Perso je suis d'accord avec le fait que si des gens souffrent, appellent de leur voeux du soutien international et qu'on partage/appuie leurs luttes même si elles sont contraires à l'opinion majoritaire du pays ou aux caprices de son gouvernement, pourquoi ne pas le faire ? Parce que faut pas influencer l'opinion majoritaire du pays ? Ben on a bien le droit de dire ce que l'on pense et de soutenir qui on veut. Après tout c'est normal de vouloir influencer le rapport de force au profit de l'idéal auquel on croit. On est humain on fonctionne comme ça ça s'appelle de la politique.
Bref, partagée. C'est bien beau les principes de type "le monde est un grand village et nous avons tous les mêmes aspirations" mais dans les faits on est régis par des frontières et des états nations avec des historiques propres. C'est tellement ancré. Et quand on voit le cinéma qu'on peut faire sur les différences culturelles entre pays européens voisins dans les séminaires de management j'imagine mal comment on peut ignorer le gap culturel quand on est séparés par des continents et des océans entiers et débarquer comme un chien dans un jeu de quilles.
Mais si les luttes existent et qu'elles nous touchent/nous rappellent les nôtres, il est légitime de s'y intéresser et de lutter et coopérer entre militants à l'échelle internationale.
Bref, partagée (bis). Mais ma conclusion c'est que l'ambition "limiter la souffrance et la coercition des gens dans le monde et se préoccuper du bonheur de son voisin quelque soit son continent comme du sien" elle est quand même difficilement critiquable. Et tant pis pour les frontières.
Bien sûr que je trouve que nos ambitions d'épanouissement individuel et de tolérance envers les minorités c'est mieux que le contraire. Et je souhaite vivement que les peuples évoluent vers plus de libertés et d'épanouissement, fusse-il individuel, collectif et minorités incluse. Mais bon quels sont nos droits en dehors de nos propres frontières ? A partir de quand on fait de l'ingérence et en est ce vraiment quand les minorités dont on appelle la reconnaissance existent dans tous les pays du monde ? Elles existent et luttent déjà de fait alors pourquoi ne pas les soutenir ? Perso je suis d'accord avec le fait que si des gens souffrent, appellent de leur voeux du soutien international et qu'on partage/appuie leurs luttes même si elles sont contraires à l'opinion majoritaire du pays ou aux caprices de son gouvernement, pourquoi ne pas le faire ? Parce que faut pas influencer l'opinion majoritaire du pays ? Ben on a bien le droit de dire ce que l'on pense et de soutenir qui on veut. Après tout c'est normal de vouloir influencer le rapport de force au profit de l'idéal auquel on croit. On est humain on fonctionne comme ça ça s'appelle de la politique.
Bref, partagée. C'est bien beau les principes de type "le monde est un grand village et nous avons tous les mêmes aspirations" mais dans les faits on est régis par des frontières et des états nations avec des historiques propres. C'est tellement ancré. Et quand on voit le cinéma qu'on peut faire sur les différences culturelles entre pays européens voisins dans les séminaires de management j'imagine mal comment on peut ignorer le gap culturel quand on est séparés par des continents et des océans entiers et débarquer comme un chien dans un jeu de quilles.
Mais si les luttes existent et qu'elles nous touchent/nous rappellent les nôtres, il est légitime de s'y intéresser et de lutter et coopérer entre militants à l'échelle internationale.
Bref, partagée (bis). Mais ma conclusion c'est que l'ambition "limiter la souffrance et la coercition des gens dans le monde et se préoccuper du bonheur de son voisin quelque soit son continent comme du sien" elle est quand même difficilement critiquable. Et tant pis pour les frontières.
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