@Alzire J'affirme seulement qu'il y a une différence biologique entre les individus de sexe masculin et féminin et que cette différence donne des capacités et des différences de performance, criantes dans certains sport.
Pas besoin d'étude ou de chiffre pour ça. Si les compétitions étaient mixtes, le nombre de nageuses sélectionnées chuterait drastiquement et le nombre de nageuses médaillées seraient égal à 0 (sauf exploit incroyable).
Les quelques études menées semblent montrer que les différences de genre assigné à la naissance ont un impact différent selon les sport pratiqués.
Je ne dit pas rien de plus que ça. Fort ou faible il y a un impact.
Les chiffres demandés plus haut n'ont pas d’intérêt. Il ne répondent à la question de l'avantage lors d'une compétition.
Plusieurs sportifs de haut niveau expriment les difficultés de l'acceptation de leur transidentité dans ce milieu (...) L'environnement est considéré comme inconfortable et peu inclusif pour les personnes transgenres ainsi qu'une inadéquation des réglementations sportives aux besoins des personnes transgenres
La question des discriminations est encore différentes. Certaines sportives cis femmes sont aussi victimes de discrimination. L'entourage, les conditions d'entrainement etc ne sont pas les même pour toutes les femmes. Pourtant elles ne partent avec des points d'avance lors des compétitions.
Je comprend que les femmes trans veulent participer aux compétitions féminines. Je comprend qu'elle voit ses catégories comme des catégories de genre. Cependant elles n'en sont pas, pas totalement. C'est avant tout des catégories de sexe.
Vouloir nier qu'il existe des différences physiques et biologiques c'est comme aller donner un tampon à une jeune femme trans parce-que "les femmes ont des règles pourquoi pas les femmes trans?"
On peut vouloir défendre le droit des personnes trans à ne pas être discriminé, à vivre leur vie confortablement, à pratiquer un sport et à faire des compétitions si elles le souhaitent, sans aller jusqu'à tomber dans une psychose.
Une femme trans ne peut pas tomber enceinte, elle ne peut pas allaiter, elle n'a pas ses règles. Ça n’empêche pas de vivre loin de là. Mais prétendre le contraire est dangereux.
Pour la compétition sportive la question se pose: est-ce que la personne a eu une puberté masculine? Est-ce-qu'il y a une différence de taille et de masse corporel? Quels sont les catégories existantes dans le sport?
Je suis complétement pour qu'une jeune fille trans puisse participer à une compétition de natation synchronisée par exemple. Car il n'y a qu'une catégorie et que l’éventuel avantage qu'elle pourrait avoir est noyé dans une performance d'équipe.
En revanche pour la natation, on n'autoriserait pas une femme de 18 ans, qui a eu des injections de testostérone de ses 11 ans à ses 17ans à participer à la compétition. Même si son taux est bas depuis 1 an.
Pourquoi on autoriserait une femme trans qui a bénéficié de cet avantage?
On va pas autoriser un judoka de 73kg à concourir dans la catégorie légère (-71kg) parce-qu'il s'y sent mieux.
C'est pareil pour les personnes trans: il faut qu'elles puissent concourir mais dans la bonne catégorie (la plus juste).