@Sophie L Prévenir oui, demander le consentement je ne vois pas l'intérêt car il se passe quoi si la patiente dit "non"? L'urgence primera et l'équipe passera outre, si on en est là c'est qu'on a pas beaucoup plus le temps que de dire "il faut, y a pas le choix".
Par contre prévenir: "la tête ne passe pas, je vais vous faire une épisio", ça on est d'accord c'est la base. Si la patiente ne voulait pas d'épisio elle devrait répondre quelque chose comme "on est vraiment obligé?", réponse "oui" et on coupe. Mais au final la patiente n'a pas vraiment le choix de la technique.
Néanmoins tu soulignes un point que je ne maitrise pas: si la patiente refuse qu'on l'aide pour son accouchement, que le bébé souffre puis meurt in utero, il se passe quoi? La patiente peut-elle être poursuivie? L'équipe médicale peut-elle/doit-elle passer outre le refus de la patiente et l'opérer en urgence pour réanimer le bébé?
Je n'ai pas du tout de réponse à ces questions.
Par contre prévenir: "la tête ne passe pas, je vais vous faire une épisio", ça on est d'accord c'est la base. Si la patiente ne voulait pas d'épisio elle devrait répondre quelque chose comme "on est vraiment obligé?", réponse "oui" et on coupe. Mais au final la patiente n'a pas vraiment le choix de la technique.
Néanmoins tu soulignes un point que je ne maitrise pas: si la patiente refuse qu'on l'aide pour son accouchement, que le bébé souffre puis meurt in utero, il se passe quoi? La patiente peut-elle être poursuivie? L'équipe médicale peut-elle/doit-elle passer outre le refus de la patiente et l'opérer en urgence pour réanimer le bébé?
Je n'ai pas du tout de réponse à ces questions.