Je me suis dit exactement la même chose ( par rapport à un autre sujet aussi sur les grossesses " gériatriques" [kof kof] ) elle a pas l air "sur la fin" @Leenox
Commentaires sur Virginie Efira, enceinte à 46 ans, se confie sur sa grossesse
- Initiateur de la discussion Anthony Vincent
- Date de début
Je comprends pas trop la différence grossesse naturelle/PMA dans ce cas.
Dans tous les cas c'est une grossesse voulue avec une mère de 46 ans, et les enfants auront un parent plus agé quoi qu'il en soit,
Donc pourquoi ça serait compliqué a comprendre si c'est via une PMA qu'elle est tombée enceinte, et "tant mieux" si c'est naturel ? Au fond ça ne change rien ...
Et sinon son compagnon est plus jeune (35 ans), j'ai pas l'impression que ça aurait perturbé quelqu'un une femme de 35 ans et un homme de 46 ans qui ont un enfant.
@esky Alors si qqn a une source ou est expert du sujet je veux bien, mais ça fait généralement + réagir quand la femme devient mère à 45 ans et plus, qu'un homme dans la même situation, car les risques pour la grossesse et pour l'enfant à naître sont davantage corrélés à l'âge de la mère?
Est-ce que les spermatozoïdes restent "de qualité" durant toute la vie d'un homme? (c'est une vraie question. Ma mère m'a eu à 39 ans, et on lui a fait faire une amniocentèse. Est-ce qu'on fait aussi des tests supplémentaires quand la femme a 25 ans et le père 39?)
De toute façon, la femme devient ménopausée, et l'homme peut procréer toute sa vie durant, donc c'est aussi pour ça que ça questionne davantage : c'est bien pcq la grossesse devient trop coûteuse en énergie/a des risques d'affecter la santé de la femme avec les années, que ces limites naturelles existent pour elle...
Donc en résumé, je trouve pas cela choquant qu'on soit davantage perturbé par cette configuration que dans l'autre.
Est-ce que les spermatozoïdes restent "de qualité" durant toute la vie d'un homme? (c'est une vraie question. Ma mère m'a eu à 39 ans, et on lui a fait faire une amniocentèse. Est-ce qu'on fait aussi des tests supplémentaires quand la femme a 25 ans et le père 39?)
De toute façon, la femme devient ménopausée, et l'homme peut procréer toute sa vie durant, donc c'est aussi pour ça que ça questionne davantage : c'est bien pcq la grossesse devient trop coûteuse en énergie/a des risques d'affecter la santé de la femme avec les années, que ces limites naturelles existent pour elle...
Donc en résumé, je trouve pas cela choquant qu'on soit davantage perturbé par cette configuration que dans l'autre.
Dernière édition :
@Théa-Lou
En terme de risque pour le bébé, en général l’âge de la mère est plus corrélé à un risque de trisomie la ou l’âge du père est corrélé à un risque de mutation « de novo » (en gros mutation d’un gène)
En terme de risque pour le bébé, en général l’âge de la mère est plus corrélé à un risque de trisomie la ou l’âge du père est corrélé à un risque de mutation « de novo » (en gros mutation d’un gène)
Les risques pas rapports au père ça fait pas longtemps qu on a "decouvert" qu il y en avait aussi , c est pour ça qu on en entend jamais parler
La grossesse naturelle est simplement plus improbable et la personne qui tombe enceinte "n'y peut rien". Faire un parcours PMA, c'est une démarche volontaire, qui implique une réflexion plus poussée à mes yeux et pose des questions éthiques (est-ce correct de repousser la limite naturelle de l'âge de procréation? Avons nous le droit de repousser des limites biologiques?) Je pense qu'avoir des enfants après 40 ans ne devrait pas devenir une norme, pour des raisons physiques, mais aussi pour des raisons sociétales (pouvoir exploiter de la main d'oeuvre faîche et l'envoyer à la maison s'occuper des ses enfants dès qu'elle ne l'est plus, priver les parents de nombreuses années avec leurs enfants...).
Le contraire m'aurait moins choqué dans le ses où la grossesse a un impact sur le corps de la personne gestante qui doit tenir le coup. Bien qu'avoir un père âgé n'est pas optimal non plus d'un point de vue génétique, la personne enceinte et qui fait la plus grosse part du travail dans la mise au monde d'un enfant est dans de meilleures conditions génétiques.
@Lune0103 ta manière de résonner pose question, dans le sens où cette phrase/questionnement "est-ce correct de repousser la limite naturelle de l'âge de procréation? Avons nous le droit de repousser des limites biologiques?" pourrait s'appliquer à tous les cas de PMA.
Une femme en âge de procréer mais infertile qui tombe enceinte par PMA c'est aussi un cas de repoussèrent des limites naturelle/biologiques. Il faudrait donc interdire toutes les PMA car elles ne sont pas naturelles?
Une femme en âge de procréer mais infertile qui tombe enceinte par PMA c'est aussi un cas de repoussèrent des limites naturelle/biologiques. Il faudrait donc interdire toutes les PMA car elles ne sont pas naturelles?
Si c'est une "grossesse naturelle voulue" alors on ne peut pas vraiment dire que la personne qui tombe enceinte "n'y peut rien", du coup c'est également une démarche volontaire que la PMA.
Apres comme dit @Mellys il y a le fait d'être pour ou contre la PMA "tout court"
Après 40 ans, les hommes qui deviennent père ont plus de risques d'engendrer des enfants autistes, mais on ne le dit jamais !
Merci de le rappeler !
Être père après 45 ans fragilise la santé de l’enfant
Dans les pays industrialisés, les hommes ont tendance, tout comme les femmes, à faire des enfants de plus en plus tard.
www.planetesante.ch
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Je ne savais pas du tout, est-ce qu'il y a des sources à ce sujet ? On sait à quoi est dû l'autisme ?
J'imagine que c'est pareil pour les femmes de plus de 40 ans aussi ?
Merci pour vos interventions qui apprennent plein de choses!
Y a un petit livre jeunesse qui parle très bien du ressenti d'une fille qui rentre au collège et doit assumer auprès des autres que ses parents sont vieux. Il s'appelle "L'âge du fond des verres" de Claire Castillon et même si c'est une fiction, c'est très bien écrit et c'est très chouette de se projeter dans le ressenti dans l'enfant.
Y a un petit livre jeunesse qui parle très bien du ressenti d'une fille qui rentre au collège et doit assumer auprès des autres que ses parents sont vieux. Il s'appelle "L'âge du fond des verres" de Claire Castillon et même si c'est une fiction, c'est très bien écrit et c'est très chouette de se projeter dans le ressenti dans l'enfant.
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