Aalia;3183451 a dit :
Je ne crois pas qu’il est possible d’appliquer le programme de FH, pour tout ce qui implique une hausse des dépenses publiques en tout cas.
J'ai une question (en fait, plusieurs) parce que je lis ça partout, jusqu'où ira-t-on pour rembourser les intérêts de notre dette ? Sachant que les créanciers demanderont toujours plus, c'est une spirale sans fin. A quel point devons-nous réduire les dépenses publiques ? Est-ce que la baisse des dépenses publiques relancera la croissance, quelles conséquences pour les "petites gens" (classe populaire, mais aussi moyenne), est-ce que cela suffira à rembourser cette dette (enfin les intérêts) ? Sachant qu'elle n'est pas due aux dépenses publiques et que ces dernières sont "infimes".
Et aussi, on nous dit qu'il faut plus de flexibilité mais à quel prix ? Quelles conséquences pour les travailleurs qui voient leurs droits de plus en plus réduits ? (je suis un peu relou, désolée)
Sinon, j'avais lu un truc drôle (enfin, pas très drôle) dans le monde diplomatique. 63 000 centa-millionnaires dans le monde dont la fortune (en tout) s'élève à 40 000 milliards de dollars, soit un an de produit intérieur brut mondial.
Pour revenir à l'article, ce qui m'a le plus marqué, c'est le brouillage des lignes politiques (ce qui m'agace, d'ailleurs)...
Après, j'suis aussi sociolo-sceptique, mais plus par crainte du futur programme (économique) de Hollande, sa réaction face aux futures (probable) attaques des marchés financiers ?
Je rejoins
Lieve concernant le fait que les moeurs sont aussi dues au fonctionnement économique du pays (même si on n'est pas d'accord sur la manière de régler le problème
), il suffit de voir à quel point la pensée réactionnaire bat son plein dans cette période de crise.
Après, je n'ai pas vu tant de gens de "droite" se plaindre du droit au mariage des homosexuels...