Coucou tout le monde
Voici le sujet assez vaste et complexe de mon mémoire en Histoire de l'art : la représentation des génocides en art contemporain. Précisément, comment aborder ces sujets, si tabous dans les sociétés à travers l'art. Je ne parlerai pas des génocides trop connus comme la Shoah par exemple mais des génocides moins connus, ceux dont on ne parle pas, dont on cherche à taire l'existence.
Pour la petite histoire, afin de mieux comprendre où je veux en venir avec ce thème assez...Inhabituel, on va dire : j'ai vu la version de Pasolini des 120 Jours de Sodome (inspiré par l'ouvrage du même nom de Sade, que j'ai lu) et ai réalisé quelques recherches, par pure curiosité. Pasolini établit un rapprochement entre le déroulement du film et la République fasciste de Salo, mise en place durant quelques jours sous Mussolini en 1943. Je me suis demandée pourquoi certains évènements étaient ainsi passés sous silence et comment Pasolini, les artistes en général faisaient pour aborder ces faits en évitant la censure et autres contrariétés. Un autre exemple avec Valse avec Bachir d'Ari Folman qui aborde le massacre de Sabra et Chatila lors de la guerre du Liban. Des massacres dont on ne parle pas...
Ainsi, dans ce mémoire, je vais essayer de saisir les difficultés, comment saisir des génocides (d'une certaine façon Guernica de Picasso en est un exemple) par la représentation en art afin de ne pas oublier, tout d'abord à l'échelle mondiale puis ensuite (si je ne déprime pas avant et que le sujet m'interresse toujours) sur un génocide précis dans mon mémoire de seconde année.
Voilou..!
J'espère ne pas vous avoir fait peur avec ça...
Voici le sujet assez vaste et complexe de mon mémoire en Histoire de l'art : la représentation des génocides en art contemporain. Précisément, comment aborder ces sujets, si tabous dans les sociétés à travers l'art. Je ne parlerai pas des génocides trop connus comme la Shoah par exemple mais des génocides moins connus, ceux dont on ne parle pas, dont on cherche à taire l'existence.
Pour la petite histoire, afin de mieux comprendre où je veux en venir avec ce thème assez...Inhabituel, on va dire : j'ai vu la version de Pasolini des 120 Jours de Sodome (inspiré par l'ouvrage du même nom de Sade, que j'ai lu) et ai réalisé quelques recherches, par pure curiosité. Pasolini établit un rapprochement entre le déroulement du film et la République fasciste de Salo, mise en place durant quelques jours sous Mussolini en 1943. Je me suis demandée pourquoi certains évènements étaient ainsi passés sous silence et comment Pasolini, les artistes en général faisaient pour aborder ces faits en évitant la censure et autres contrariétés. Un autre exemple avec Valse avec Bachir d'Ari Folman qui aborde le massacre de Sabra et Chatila lors de la guerre du Liban. Des massacres dont on ne parle pas...
Ainsi, dans ce mémoire, je vais essayer de saisir les difficultés, comment saisir des génocides (d'une certaine façon Guernica de Picasso en est un exemple) par la représentation en art afin de ne pas oublier, tout d'abord à l'échelle mondiale puis ensuite (si je ne déprime pas avant et que le sujet m'interresse toujours) sur un génocide précis dans mon mémoire de seconde année.
Voilou..!
J'espère ne pas vous avoir fait peur avec ça...