Drogues internes drogues externes, ma pollution est dans l'air ou dans ma tête, On a le droit de choisir son mode de transport. Son mode d'expression, de vision, de respiration, de mouvement, etc...
La vie est une drogue dont se gargarise le riche et qui laisse le pauvre dans le besoin...
Extrait. D’un article sur Christiane F. Toujours vivante.
………… » Le milieu avait changé depuis les débuts de Christiane, estime Gode Benedix. La drogue de Berlin dans les années 1980, c’était le speed. L’héroïne était out. » A 13 ans, l’une des motivations de Christiane lorsqu’elle se met à l’héroïne est le besoin de reconnaissance et l’urgence d’appartenir à un groupe. A 21 ans, c’est devenu un trip solitaire, secret et honteux. « On prend de la coke pour s’éclater, explique Christiane. On prend de l’héroïne pour effacer les souffrances physiques que vous inflige la dépendance. C’est… une maladie. » « Quand elle n’en prenait pas, elle était toute recroquevillée sur elle-même, …
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/…/moi-christiane-f-51-ans-toujours-vi…
………… ».
Mais personnellement, en tant que victime, thérapeute, rescapée, consommatrice disciplinée et
aguerrie, étudiante en journalisme et en conflit avec Dame justice et
quand j’observe les réactions et leçons tirées, je ne peux m’empêcher de continuer à écrire afin de faire comprendre aux êtres humains, que ce n’est pas le produit précis mais l’excès qui nuit et le manque de discernement, d’à propos, l’environnement favorable au développement de la spiritualité ainsi que …
La réflexion que l’héroïne est pour effacer les souffrances, n’est pas une fin en soi. Qu’elle inflige « ... »la dépendance est une sinécure dans la mesure où ce n’est pas le produit qui la crée mais la faiblesse de l’apprentissage de la consommation de drogue qui, à part les souffrances physiques qu’elle permet de moins ressentir, elle donne également le repos du guerrier à l’être perdu. Elle ouvre à l’esprit les rêves.
La dépendance est celle que l’on a, seul(e), abandonné(e)à soi-même dans le monde que l’on connaît mais que l’on appréhende tous à notre manière ; Pourvu qu’elle tolère le respect et les indiens d’Amérique viennent frapper le tam-tam et envoyer avec le vent un nuage rond et paix.
Si la drogue est une maladie, le diagnostic est la vie et l’apprentissage de son moi intérieur. Qu’il se fasse enfin sous de bons auspices.
Que cela soit pour un secret, un voyage solitaire ou une initiation ainsi que la recherche de soi-même alors qu’il y a à lutter contre la vieille image de la honte à l’époque où la France ainsi que tous les pays riches sont champions du monde du taux de suicides et que des dépressions qui sont légions…
A l’époque de la pilule « miracle »!Des erreurs de parcours inconscient menant a des maladies de tous genres, malédiction que nous traînons derrière nous depuis l’aube des temps.
Laissez tomber vos œillères. Protégez vos enfants en les éduquant. Et si par mégarde ou par choix il décide d’utiliser cette voie, qu’il le fasse dans les meilleures conditions possibles. Et surtout retrouver la qualité de la nature.
Car tous les gouvernements ne peuvent chasser la drogue. Ils ne peuvent que parvenir à établir des rampes de sécurité, calquées sur les cas à cas. Rectifier ou poser des procédures correspondant à chaque cas de déséquilibre. Réinvestir la rue, investir les habitations abandonnées et leur redonner vie.
Quant au besoin de reconnaissance, il prend en fait une place de respect et de discipline. Car on ne prend pas l’héroïne que pour le plaisir mais jusqu’à ce que tout à coup on ait mal à la tête et que l’on sait qu’on a la gueule de bois et que l’on doit arrêter l’abus !
Tel ce vétéran du Vietnam Zéro, qui se proposait de tester toute drogues inconnues à toute personnes douteuses. Et à la fin de chaque rassemblement, chacun ramassait et se trouvaient aligner en rang d’oignons les sacs poubelles.
Les drogues, l’argent, les femmes, le pouvoir,
les 7 péchés capitaux dont la gourmandise, la jalousie, la colère, l’avarice, l’oisiveté, la luxure, l’orgueil. Et le combat de l’être humain contre les forces animales, destructrices. Qui oublient le langage, le dialogue pour favoriser les échanges. Et le dialogue est la réponse adéquate en réponse à la peur. La fuite ou l’attaque ne sont que d’anciens réflexes, pour la survie.
04/04/2016 Christine Vukotic
La vie est une drogue dont se gargarise le riche et qui laisse le pauvre dans le besoin...
Extrait. D’un article sur Christiane F. Toujours vivante.
………… » Le milieu avait changé depuis les débuts de Christiane, estime Gode Benedix. La drogue de Berlin dans les années 1980, c’était le speed. L’héroïne était out. » A 13 ans, l’une des motivations de Christiane lorsqu’elle se met à l’héroïne est le besoin de reconnaissance et l’urgence d’appartenir à un groupe. A 21 ans, c’est devenu un trip solitaire, secret et honteux. « On prend de la coke pour s’éclater, explique Christiane. On prend de l’héroïne pour effacer les souffrances physiques que vous inflige la dépendance. C’est… une maladie. » « Quand elle n’en prenait pas, elle était toute recroquevillée sur elle-même, …
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/…/moi-christiane-f-51-ans-toujours-vi…
………… ».
Mais personnellement, en tant que victime, thérapeute, rescapée, consommatrice disciplinée et
aguerrie, étudiante en journalisme et en conflit avec Dame justice et
quand j’observe les réactions et leçons tirées, je ne peux m’empêcher de continuer à écrire afin de faire comprendre aux êtres humains, que ce n’est pas le produit précis mais l’excès qui nuit et le manque de discernement, d’à propos, l’environnement favorable au développement de la spiritualité ainsi que …
La réflexion que l’héroïne est pour effacer les souffrances, n’est pas une fin en soi. Qu’elle inflige « ... »la dépendance est une sinécure dans la mesure où ce n’est pas le produit qui la crée mais la faiblesse de l’apprentissage de la consommation de drogue qui, à part les souffrances physiques qu’elle permet de moins ressentir, elle donne également le repos du guerrier à l’être perdu. Elle ouvre à l’esprit les rêves.
La dépendance est celle que l’on a, seul(e), abandonné(e)à soi-même dans le monde que l’on connaît mais que l’on appréhende tous à notre manière ; Pourvu qu’elle tolère le respect et les indiens d’Amérique viennent frapper le tam-tam et envoyer avec le vent un nuage rond et paix.
Si la drogue est une maladie, le diagnostic est la vie et l’apprentissage de son moi intérieur. Qu’il se fasse enfin sous de bons auspices.
Que cela soit pour un secret, un voyage solitaire ou une initiation ainsi que la recherche de soi-même alors qu’il y a à lutter contre la vieille image de la honte à l’époque où la France ainsi que tous les pays riches sont champions du monde du taux de suicides et que des dépressions qui sont légions…
A l’époque de la pilule « miracle »!Des erreurs de parcours inconscient menant a des maladies de tous genres, malédiction que nous traînons derrière nous depuis l’aube des temps.
Laissez tomber vos œillères. Protégez vos enfants en les éduquant. Et si par mégarde ou par choix il décide d’utiliser cette voie, qu’il le fasse dans les meilleures conditions possibles. Et surtout retrouver la qualité de la nature.
Car tous les gouvernements ne peuvent chasser la drogue. Ils ne peuvent que parvenir à établir des rampes de sécurité, calquées sur les cas à cas. Rectifier ou poser des procédures correspondant à chaque cas de déséquilibre. Réinvestir la rue, investir les habitations abandonnées et leur redonner vie.
Quant au besoin de reconnaissance, il prend en fait une place de respect et de discipline. Car on ne prend pas l’héroïne que pour le plaisir mais jusqu’à ce que tout à coup on ait mal à la tête et que l’on sait qu’on a la gueule de bois et que l’on doit arrêter l’abus !
Tel ce vétéran du Vietnam Zéro, qui se proposait de tester toute drogues inconnues à toute personnes douteuses. Et à la fin de chaque rassemblement, chacun ramassait et se trouvaient aligner en rang d’oignons les sacs poubelles.
Les drogues, l’argent, les femmes, le pouvoir,
les 7 péchés capitaux dont la gourmandise, la jalousie, la colère, l’avarice, l’oisiveté, la luxure, l’orgueil. Et le combat de l’être humain contre les forces animales, destructrices. Qui oublient le langage, le dialogue pour favoriser les échanges. Et le dialogue est la réponse adéquate en réponse à la peur. La fuite ou l’attaque ne sont que d’anciens réflexes, pour la survie.
04/04/2016 Christine Vukotic