bazinga-;4868825 a dit :
Euuh, désolée pour ma question qui va sortir de nulle part : dans la chanson Voir un ami pleurer de Brel, comment vous interprétez le "mais voir un ami pleurer..." ?
Parce que j'ai lu un truc là dessus et je suis pas vraiment d'accord. ET, en même temps, je repense au post de @Shield sur l'article Se (re)mettre à la lecture, sur le fait que la beauté des textes tient à l'infinité des interprétations qu'on peut en faire.
Woaw, je suis vraiment à côté de la plaque pour écrire ça et m'apprêter à appuyer sur "
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De mémoire, chaque "Mais voir un ami pleurer" conclue une strophe qui liste des malheurs divers ("Bien sûr, il y a les guerres d'Irlande", "Bien sûr il y a nos défaites et la mort qui est tout au bout", "Bien sûr il y a les femmes infidèles | et les oiseaux assassinés", etc.) et donc signifie que voir un ami pleurer est un malheur bien plus terrible, une situation devant laquelle on n'est bien plus impuissant, que tout le reste, que les guerres (d'autant plus si elles ne nous concernent pas directement), que la vieillesse et le temps qui file, que la mort, etc. Non ?
Comment tu l'interprètes toi ?