Yep, alors voilà un petit texte que j'ai écrit, en faisant une grande inspection dans mon cerveau, et un "compte rendu" de mes états d'âme.
Là, ça parle de quelqu'un que j'ai aimé (et que j'aime toujours, je crois), qui a été l'un de mes meilleurs amis... Bref, c'est pas du grand art, mais ça a "crevé l'abcès" comme on dit. Enjoy !
« - Et tu sais quoi ? Si tu t'y étais pris avant, tu serais avec elle. Elle était folle de toi, je te le jure. Je sais pas pourquoi, personne ne le sait. Ce n'était pas qu'un petit amour de collège, non. C'était beaucoup plus fort que ça, quelque chose qui te marque à vie, tu vois ce que je veux dire ? Non, tu ne vois pas, bien sûr que non. Elle t'a admiré, au départ parce que tu avais quelque chose en plus, sans savoir ce que c'était, mais surtout parce qu'elle te trouvait carrément différent. Tu ne te rappelles pas, le jour où elle t'as demandé pourquoi tu n'avais pas de copine ? Non sûrement pas. Pourtant elle, elle s'en rappelle précisément. Tu lui as répondu que tu ne t'intéressait pas au filles. Que tu attendais que quelque chose se passe, comme une alchimie. Pas une fille avec qui on sort comme ça, pour le fun. Oui, elle se souvient de tes paroles, parce que ça l'avait marqué, tu étais enfin un garçon qui voulait une relation sérieuse, quelqu'un pour elle. Quand tu étais complice avec d'autres filles, elle en ressentait un pincement de jalousie car elle savait bien que tu te comportais comme un ami avec elle, et rien de plus. Elle te trouvait beau, même magnifique, avec de la classe et du style. Elle rêvait de se montrer avec toi, que tout le monde vous voient ensemble. Elle ne pouvait pas s'empêcher de s'imaginer avec toi, comme un vrai couple. Elle creuvait d'envie de passer sa main dans tes cheveux, de les ébouriffer, puis de la poser sur ton cou et de t'embrasser. Tu vas peut-être te moquer d'elle, tellement tu trouves ça con, mais c'est vraiment ce qu'elle ressentait. Elle t'aimait, voilà tout. Elle rêvait de toi, toutes ses pensées étaient à toi. Elle a bien essayé de se trouver quelqu'un, pour te remplacer. Mais elle ne cessait de les comparer à toi. Dès qu'elle faisait la connaissance de quelqu'un qui pouvait te ressembler, elle l'analysait, pour savoir ce que vous aviez en commun. Mais ils étaient tous différents, personne n'était comme toi. Elle aurait pû en avoir bien d'autres, mais ils n'étaient pas comme toi. C'est toi qu'elle voulait.
Mais maintenant, ne cherches pas à la séduire, s'il-te-plaît. Vois comme elle est heureuse. Si tu fais ça, tu pourraîs tout gâcher. Bien sûr que tu aurais encore une chance, mais tu ne veux pas la rendre malheureuse, non ? Alors laisse là. Elle a bien réussi à t'oublier, elle. »
Là, ça parle de quelqu'un que j'ai aimé (et que j'aime toujours, je crois), qui a été l'un de mes meilleurs amis... Bref, c'est pas du grand art, mais ça a "crevé l'abcès" comme on dit. Enjoy !
« - Et tu sais quoi ? Si tu t'y étais pris avant, tu serais avec elle. Elle était folle de toi, je te le jure. Je sais pas pourquoi, personne ne le sait. Ce n'était pas qu'un petit amour de collège, non. C'était beaucoup plus fort que ça, quelque chose qui te marque à vie, tu vois ce que je veux dire ? Non, tu ne vois pas, bien sûr que non. Elle t'a admiré, au départ parce que tu avais quelque chose en plus, sans savoir ce que c'était, mais surtout parce qu'elle te trouvait carrément différent. Tu ne te rappelles pas, le jour où elle t'as demandé pourquoi tu n'avais pas de copine ? Non sûrement pas. Pourtant elle, elle s'en rappelle précisément. Tu lui as répondu que tu ne t'intéressait pas au filles. Que tu attendais que quelque chose se passe, comme une alchimie. Pas une fille avec qui on sort comme ça, pour le fun. Oui, elle se souvient de tes paroles, parce que ça l'avait marqué, tu étais enfin un garçon qui voulait une relation sérieuse, quelqu'un pour elle. Quand tu étais complice avec d'autres filles, elle en ressentait un pincement de jalousie car elle savait bien que tu te comportais comme un ami avec elle, et rien de plus. Elle te trouvait beau, même magnifique, avec de la classe et du style. Elle rêvait de se montrer avec toi, que tout le monde vous voient ensemble. Elle ne pouvait pas s'empêcher de s'imaginer avec toi, comme un vrai couple. Elle creuvait d'envie de passer sa main dans tes cheveux, de les ébouriffer, puis de la poser sur ton cou et de t'embrasser. Tu vas peut-être te moquer d'elle, tellement tu trouves ça con, mais c'est vraiment ce qu'elle ressentait. Elle t'aimait, voilà tout. Elle rêvait de toi, toutes ses pensées étaient à toi. Elle a bien essayé de se trouver quelqu'un, pour te remplacer. Mais elle ne cessait de les comparer à toi. Dès qu'elle faisait la connaissance de quelqu'un qui pouvait te ressembler, elle l'analysait, pour savoir ce que vous aviez en commun. Mais ils étaient tous différents, personne n'était comme toi. Elle aurait pû en avoir bien d'autres, mais ils n'étaient pas comme toi. C'est toi qu'elle voulait.
Mais maintenant, ne cherches pas à la séduire, s'il-te-plaît. Vois comme elle est heureuse. Si tu fais ça, tu pourraîs tout gâcher. Bien sûr que tu aurais encore une chance, mais tu ne veux pas la rendre malheureuse, non ? Alors laisse là. Elle a bien réussi à t'oublier, elle. »
J'ai écrit ce texte en pleurant.
Peut importe qu'il soit pourri, ou autre,
Il m'a rappelé des souvenirs,
et c'était ça le plus triste.
Bon ou mauvais,
c'est pas ça le problème.
C'est juste qu'ils font référence
à une époque révolue,
Et que c'est ça qui fait mal.
Parce que ça me manque.
Peut importe qu'il soit pourri, ou autre,
Il m'a rappelé des souvenirs,
et c'était ça le plus triste.
Bon ou mauvais,
c'est pas ça le problème.
C'est juste qu'ils font référence
à une époque révolue,
Et que c'est ça qui fait mal.
Parce que ça me manque.